Une soirée surprenante
Datte: 22/09/2017,
Catégories:
fh,
vengeance,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
couple,
« All you want to do is ride around Sally, ride Sally ride. » Je ne pensais pas que je fredonnerais un jour cette chanson à double sens de Wilson Pickett en ressentant à la fois du plaisir et de l’inquiétude. « Ride Sally ride »… Tout a commencé à l’occasion du mariage de notre fille. Ce jour de grande fête familiale, les deux familles qui se connaissaient à peine sont réunies pour une soirée que nous organisions depuis plus d’une année, avec ma fille, son futur mari et ses parents. Guenièvre, la mère du mari, avait sympathisé rapidement avec Sally, mon épouse. Quant à moi, le courant passait bien avec Vladislaw, son époux, notamment pour les blagues à double sens, le bricolage et les différents alcools qui peuplent notre belle Europe, dont la Pologne, son pays d’origine… Lors d’une de nos agréables soirées chez les Wosniczlakz où nous préparions les noces, Guenièvre avait installé mon épouse dans le canapé trois places aux côtés de son mari et s’était assise à côté de moi, dans le canapé deux places. Elle était tout contre moi. Je sentais la chaleur de sa cuisse contre la mienne, et chaque fois qu’elle se tournait vers moi pour me parler elle se frottait ostensiblement contre ma cuisse et touchait mon bras délicatement. Je sentais son doux parfum envahir mon espace ; elle m’hypnotisait. Je ne savais comment réagir, et Sally me lançait des regards incendiaires. Vladis montrait de l’agacement. Sa jalousie était perceptible ; pourtant il ne réagissait pas et laissait sa ...
... femme me provoquer. Je n’écoutais plus la conversion ; j’étais centré sur mon dilemme intérieur : laisser faire et profiter du réel plaisir que Guenièvre me procurait ou stopper avec tact cette situation gênante, pour ne pas compromettre les noces et les bonnes relations que nous avions avec ce couple ? — Eh bien alors, Henry, tu réponds ? Tu ne trouves pas intéressante cette proposition ? C’est original, non ? Ah oui, Henry c’est moi. Cela m’arrive souvent d’être pris par mes émotions et de ne plus percevoir ce qui se passe autour de moi. Si on ajoute à cela un début de surdité, héritage de ma jeunesse rockeuse, le tableau qui énerve tellement ma Sally est complet. Je repense au début de notre histoire à Sally et moi. Nous nous sommes rencontrés un soir de 1989 dans un concert d’AC/DC. Elle a marché sur mes pieds, m’écrasant les orteils. Pour ne pas tomber je me suis rattrapé à ses épaules, me retrouvant le nez plongé dans son décolleté déjà très généreux. Elle a ri à gorge déployée, s’est excusée : « Salut ! Moi c’est Sally. Je suis désolée, c’est l’ambiance… » ; je lui ai répondu en criant avec un rictus de douleur : « Pas grave, beauté, moi c’est Henry. » Elle s’est esclaffée, m’a embrassé rapidement sur la bouche – juste un smack – m’a pris par la main et m’a tiré vers les premiers rangs. Là, elle m’a enlacé : « Excuse-moi, mais Henry rencontre Sally, c’est pas banal ; nous sommes faits pour vivre ensemble. Je ne te lâche plus, beau brun ! » Et elle m’a roulé une pelle ...