La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°934)
Datte: 01/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
soumises prêtées au Château – (suite de l'épisode N°932)- Il resta comme cela un moment, puis se dirigea vers Mélanie, il saisi le plug queue et sans ménagement le lui enfonça plus loin, elle gémi . Il l'obligea à se relever en tirant méchamment sur sur son collier . Elle gardait les yeux baissés n'osant pas affronter son regard . - va aux cuisines et met toi au service de Marie ! - oui Monsieur le Marquis, répondit elle, se souvenant de la gifle de la cuisinière . Il la lâcha et elle parti d'un pas rapide vers ce qu'elle croyait être un soulagement . Le Marquis la regarda s'éloigner puis se tourna vers moi toujours la tête au sol . Il s’approcha de quelques pas et je pus voir le bout de ses chaussures . Il restait là, sans bouger . Au bout d'un moment son pied droit se mit à battre le sol comme s'il battait la mesure d'une musique qu'il était le seul à entendre . Je n'osais pas me redresser et restais là dans une position qui, je le savais, exposait ma croupe et la révélait, indécente, avec ce plug fiché dans mes entrailles . Je sentais la tension monter et la peur me gagner . La crainte de la suite des événements me faisait greloter et suer tout à la fois . Tout autour de moi, comme autant de témoins muets, les morceaux de cristal scintillaient doucement dans la lueur des chandeliers, leurs éclats me rappelaient l'abandon de mon Maître et j’eus envie de pleurer. Monsieur le Marquis bougea légèrement . Ah comme j'aurai préféré qu'il cria, qu'il hurla sa colère, qu'il fasse ...
... quelque chose !.... Mais là, ce calme, ce silence, cette attente me terrorisaient d'autant plus qu'ils duraient depuis longtemps . Puis soudain, semblant enfin s'être décidé, il appela Walter. Ce fût si brusque, si inattendu que cela me fit sursauter, mais je n'osais toujours pas, ni bouger, ni le regarder. Il m'était moins pénible d'être ainsi, soumise, dans cette position, que de croiser son regard et d'y voir son courroux . Walter à peine arrivé, le Marquis lui demanda : - emmène cette femelle dans la salle Rouge et installe la, prépare la, je viendrai tout à l'heure me rembourser de ce qu'elle a brisé . Mon sang se figea, une sueur froide coula le long de mes flancs . J’eus toutes les peines du monde à me mettre debout lorsque Walter tira sur la laisse pour me faire me lever et me conduire vers un lieu inconnu . J'en étais sûre maintenant, le Marquis avait choisi et trouvé quelques supplices sortis tout droit de son imaginaire pervers . Il me revint en flash menaçant lugubre, le souvenir de mes lectures, me surprenant à fantasmer sur ses mêmes supplices que le Marquis décrivait sur le "Château" et pour lesquels je me voyais actrice sublimée sous ses délires . Mais la réalité avait rattrapé les rêves et c'est d'une main ferme que Walter m'entraina vers "la salle rouge", la salle d'un calvaire annoncé. "Pour me rembourser de ce qu'elle à brisé" avait-il dit . C'était clair, c'était net, j'allai payer durement cette faute . Pendant que, tenue en laisse, je suivais Walter vers ...