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Ma vie de libertin - Amours de jeunesse - 3ème partie.
Datte: 01/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe
Carnaval rhénan. L’épisode que je vais vous conter est absolument véridique. Il remonte à bien longtemps (1961) mais il pourrait tout aussi bien se dérouler actuellement tant les festivités du Carnaval en Allemagne, et plus spécialement dans les pays rhénans, donnent lieu à des débordements en tous genres. Les débordements sexuels en font partie. A cette époque, j’effectuais mon service militaire et j’étais en garnison dans une ville du sud de l’Allemagne, là où chaque année le Carnaval donne lieu à toutes sortes de fantaisies lors des défilés costumés et lors des bals populaires ou de sociétés qui se déroulent pratiquement chaque soir au cours de la décade qui se termine le Mardi gras. Le summum de ces bals a lieu lors du « Weiberfastnacht » (journée des femmes) et lors du « Rosenmontag » (lundi des roses) le premier lundi de cette fameuse grande décade. Ces jours-là les femmes font tout ce qu’elles veulent, ce sont elles les reines de la fête et pour certaines c’est l’occasion de baiser avec plusieurs partenaires en même temps ou à la suite en toute liberté. J’étais avec un très bon copain de régiment originaire de la Guadeloupe, métis à la peau très brune, colosse de près de deux mètres. Ce dernier ne parlait pas très bien l’allemand alors que je le parle couramment. Assez souvent, lorsque nous étions en goguette à la recherche d’une bonne fortune, je me chargeais des premiers contacts, ensuite, c’était à lui de se débrouiller. Nous déambulions dans les rues déjà envahies ...
... par les fêtards de tous poils, costumés ou non, quand nous avons été abordés par deux jeunes femmes d’une trentaine d’année. Elles nous ont demandé si nous voulions faire la fête avec elles. Tout à fait d’accord pour accompagner ces deux blondes à la silhouette agréable, aux courbes harmonieuses et qui visiblement étaient déjà bien chaudes et excitées. Elles portaient le costume traditionnel de la région (sans le grand chapeau à pompons rouges) dont le haut très décolleté a l’avantage de présenter la poitrine comme sur un plateau quand le chemisier et le caraco sont bien ajustés. Nous sommes entrés tous les quatre dans un restaurant où on dansait. Après avoir payé notre écot nous nous sommes dirigés vers le fond de la salle où il restait quelques tables encore libres. Dès que l’orchestre s’est mis en place, nous sommes allés sur la piste de danse. Mon copain Grégoire était avec Gaby et j’étais à Katharina (je ne me souviens plus des prénoms… je les ai donc changés). Ce sont elles qui ont choisi le cavalier qui les accompagnerait pour ce début de soirée. C’était le tout début de l’époque du disco et les danseurs se trémoussaient face à face sans se toucher. Mais Katharina semblait ne pas se satisfaire de cela car à la moindre occasion elle venait se frotter à moi, collant sa poitrine rebondie contre mon torse ou, me tournant le dos, elle ondulait du bassin contre mon bas ventre, cherchant la présence de ma bite en érection entre ses fesses. Bref, elle m’allumait sérieusement. ...