Maxi Mini Mignon
Datte: 02/03/2020,
Catégories:
fh,
complexe,
Oral
pénétratio,
fsodo,
coupfoudr,
amourdura,
extraconj,
attirautr,
nature,
... me serre de plus en plus fort, comme s’il avait peur que je m’envole ! Je le lui fais remarquer : — Pas la peine de serrer si fort, David, je ne vais pas m’envoler !— Qui sait ? Dans le doute…— Gros bêta ! Sans que je comprenne bien la manœuvre, nous nous retrouvons face à face, ses lèvres sur les miennes ! Et j’aime énormément ça ; j’adore, même ! Je voudrais que ça dure toujours ! Toujours ! En parlant dur, je commence justement à sentir quelque chose de dur contre moi, mais pas comme d’habitude, si je puis m’exprimer ainsi… Peu importe, je suis dans les bras de David, et j’y suis très très bien ! Encore mieux que dans ceux de Pierre lors du début de notre relation. Et ça, c’est un indice non négligeable ; mais je suis peut-être en train de faire des plans sur la comète : tout ceci ne sera probablement qu’une amourette d’un soir. Peu importe. Comme je le disais, je suis si bien ! — Pause — Nous sommes en train de nous balader au sommet de la colline, nous arrêtant tous les trois-quatre pas pour nous embrasser. On ne peut pas dire que nous avons été bien loin. Par contre, David se fait de plus en plus aventureux avec ses mains si douces ; et comme mon vêtement est assez aérien… Je bénis le fait d’être en plein été, un été chaud. David murmure à mon oreille : — Je suis énormément content d’être venu à cette soirée, bien que je n’avais pas trop envie de venir, au début…— Moi aussi, j’étais dans le même cas : ça ne me disait pas plus que ça ! C’est Mona qui m’a décidée.— Je ...
... crois que je dois beaucoup à Mona… À cet aveu, je ris : — Faut pas le lui dire, sinon elle va se croire tout permis !— Tu as… vous avez raison… Je frotte mon nez contre le sien, un geste idiot et puéril, mais j’en avais envie ; et lui, on dirait que ça lui plaît. Je dis doucement : — Au point où on en est, le "tu" me semble plus approprié… tu ne crois pas ?— Le "vous" a ses charmes…— Oui, mais il met de la distance…— Collés comme nous sommes ? Ce serait dur ! Je m’esclaffe : — Gros bêta ! Tu es un gros bêta, mais je t’adore !— Moi aussi, je t’adore !— Ah-hem, c’est pas un peu rapide, non ? Il me serre plus contre lui. Encore cette sensation curieuse, mais je suis si bien contre lui. Souriant, il répond : — Du moment que toi et moi, ça nous convienne…— Oui, tu as raison… Plaquée contre lui, je savoure son corps, je me frotte délibérément contre la chose toute dure qui pointe sous son pantalon. Mais quelque chose me gêne à nouveau. Intriguée, j’y vais franco : — Je ne sais pas comment te le dire mais… y a un truc qui me chiffonne plus bas…— C’est-à-dire ?— Ben… ta bosse…— Tu ne me laisses pas de marbre… Enfin, si…— J’ai compris que tu dresses le chapiteau, et ça me flatte… Mais y a comme un truc pas normal… Il soupire, se pince les lèvres. Je suis étonnée. Il me regarde tristement. — J’aurais aimé retarder ce moment…— De quoi tu parles ?— Autant te le dire tout de suite. Tu connais le chanteur hispanique Enrique Iglesias ?— Un peu, mais pas plus que ça… Je ne vois pas où tu veux ...