1. La reine Margo - 10


    Datte: 02/03/2020, Catégories: Humour, Lesbienne Transexuels

    L’arrivée de l’armée chrétienneAffamé toutes les deux, ont fini nos assiettes au complet jusqu’à les lécher, le nez dedans. La rousse m’aida ensuite à me relever, car ce n’est pas évident avec les mains attacher dans le dos. Elle prit ma laisse et m’entraîna au travers des tables vers la roulotte sous les moqueries des convives, car je portais toujours ce ridicule nez de cochon dégoulinant de gras et de bouffe. Quant à Jeanne, je vis qu’on l’emmenait ailleurs. Ma nièce qui avait enlevé son masque me fit un gros sourire et me souhaita bonne nuit avant d’être emmenée par Marie hors de la salle sans trop rechigner. Je me doutais bien pourquoi. Marie avait dû lui promettre de la rejoindre au lit cette nuit.Une fois seule avec la rousse dans la roulotte, éclairer par une multitude de lampions colorer, elle prit un linge pour essuyer mon visage, mes seins et mon nez de cochon en carton-pâte tacher de bouffe, puis elle me regarda avec envie en se branlant. Voir une si belle femme, grande, svelte avec des seins lourds et surtout un sexe d’homme et de belles couilles sans poils me mit le feu au ventre. Je la trouvais si désirable avec sa peau pâle couverte de taches de rousseur et sa chevelure de feux que je mourais d’envie de sentir son sexe en moi. Elle m’enleva le gode en ceinture, j’en avais mare de le porter de toute façon.-Détache moi ma belle, dis-je avec ma voie ridicule à cause de ce maudit faux nez.-Toi, ma jolie petite cochonne tu te tais, fit-elle amuser en jetant le gode ...
    ... par-dessus son épaule, tu n’es qu’une esclave ici, tu n’es plus une reine.Elle me pinça les mamelons un moment avant de me les téter obséder par ma grosse poitrine puis me plaqua contre la porte par les épaules en m’embrassant à pleine bouche tout en me caressant le sexe un doigt en avant a me rendre folle, surtout que je ne pouvais pas la toucher. Ça, c’était une bien vilaine petite torture. Puis elle s’amusa à frotter sa poitrine contre la mienne et à m’embrasser encore et encore ou me lécher tout partout surtout mes tétons devenus si gros et si sensibles. Exciter, je me mit frissonner en gémissant. Malgré mes supplications, elle refusa de me délier les mains et quand sa belle queue fut bandée dur, elle m’écarta les jambes avec un pied pour me pénétrer en douceur. Puis, elle me baisa la, contre cette foutue porte, joue contre joue, seins contre seins pendant qu’on entendait rires les invitées, de Jeanne sans doute. Tout en gémissant en lâchant des ; ah oui... ah oui.., ouf... C’est bon, continue ma belle... je me demandais ce que l’on pouvait bien faire à l’autre petite cochonne.Je trouvai ça très étrange de me faire prendre par une femme avec une vraie bite, de sentir ses seins frotter contre les miens et son beau membre aller et venir dans mon sexe détremper. J’aurais tant aimé être sur le dos avec les mains libres pour pouvoir caresser son corps, palper ses jolies fesses et ses seins, mais je dus me contenter de son sexe s’agitant en moi de plus en plus vite. Je me mis ...
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