1. Bonsoir Frédéric !


    Datte: 03/03/2020, Catégories: fhh, hbi, hsoumis, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme Transexuels rasage, facial, Oral hdanus, hgode, hsodo, sm, init,

    J’avoue que l’annonce m’avait séduit : « Couple la trentaine, bien dans sa tête et bien dans son corps, cherche jeune homme pour réalisation fantasme commun. Curieux ne pas s’abstenir, esprit ouvert bienvenu. ». Suivaient deux initiales, N. et M. et un numéro de téléphone en région parisienne. Jeune homme de 25 ans à l’époque, je vivotais entre la fac et quelques boulots alimentaires, sans grandes idées sur la vie et sur ma vie en général. Plutôt grand, plutôt mince et plutôt mignon d’après mes copines de fac. Enfin, rien de bien extraordinaire, éternel adulescent indécis, je me laissais porter par le courant, comme beaucoup d’autres. Ce qui se passa ce soir-là bouleversa ma vie. J’appelais. M. décrocha. Il avait une voix assez dure qui s’adoucit quand je lui annonçais le but de mon appel. A. mit le haut-parleur et nous parlâmes de tout et de rien. Enfin, surtout lui, car il parla beaucoup. Comme j’essayais d’en savoir un peu plus sur leur annonce, M. me posait une autre question sur mes goûts, cinématographiques, culturels, vestimentaires ou autres. Il essayait de me cerner et quant à moi, j’avais perdu le fil de mes pensées, l’écoutant sans cesse, assez embarrassé par notre conversation, mais avec une excitation trouble qui me faisait transpirer. Je commençais à bander, ce qui me faisait transpirer davantage et ajoutait au trouble de notre conversation. Je changeai de position sur mon fauteuil, mon sexe commençant à me faire mal, à l’étroit dans mon pantalon. Ma voix était ...
    ... méconnaissable et je bégayais. Ils se parlaient de temps en temps, car j’entendais des bribes de voix, masquées par une main sur le combiné. Au bout d’un moment, un grand silence s’installa. C’est moi qui rompis ce silence en proposant timidement « On peut peut-être se rencontrer ? ». Il me plaisait. Je lui plaisais et je plaisais à sa femme apparemment. « Très bien, N. et moi sommes d’accord. Ce soir ? » La panique me gagna et comme inconsciemment, je répondis « Très bien. Où ça ? » « Chez nous, nous avons une grande maison à Suresnes. Vous connaissez ? » « Oui, oui. Je me débrouillerai. » J’allais raccrocher, quand il cria presque:" Attendez, vous n’avez pas l’adresse ! " Je rougis aussitôt en riant un peu bêtement. Il me dicta l’adresse, puis raccrocha en ajoutant: « A tout à l’heure Frédéric, ça va te plaire, tu verras. » Je raccrochai à mon tour. Mon cœur battait fort et mon sexe était toujours tendu. Je me levais du fauteuil, tout engourdi et le front brûlant et presque aussitôt, j’empoignais mon sexe à travers mon pantalon. Il m’en fallait plus très vite, et en un clin d’œil, j’étais debout dans mon salon, face à mon téléphone, le pantalon et le caleçon sur les chevilles, en train de me masturber violemment, comme un automate. Je jouis en quelques secondes, mon sperme gicla sur le tapis et coula sur ma main. Je repris mes esprits, me regardai dans la glace de la salle de bain. Ça va. Je quittai mon appartement et hélai un taxi. Quelques dizaines de minutes plus tard, ...
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