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Un policier entreprenant (2)
Datte: 05/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... silhouettes que je distinguais au loin sans encombre. On se rapprochait, plus que vingt mètres, dix mètres... Le policier me fis signe de me garer à côté, je m’exécutai, la boule au ventre. Le jeune homme, auquel je donnais environ 25 ans s’approcha de la fenêtre, que je descendis, plaquant un sourire sur mes lèvres. — Bonsoir Monsieur. — Bonsoir, je vais effectuer un contrôle de vos papiers Mademoiselle ainsi qu’un test d’alcoolémie. — Bien sûr, répondis-je. — Laisse Léo, je m’en occupe. Je reconnu sa voix avant de voir son visage. James. Mon cœur se mis à battre encore plus fort. Je le regardais approcher, admirant son visage et son corps que je savais parfait sous son uniforme. — Alors Séréna, on sort tard le soir ? — Pas si tard James, il n’est que 1h, répliquai-je avec mon plus beau sourire faux-cul. — Et en bonne compagnie en plus... — Qu’est-ce que tu veux, il m’arrive d’avoir bon goût parfois. Il ricana. Je le fusillai du regard. Le pauvre Quentin ne savais plus ou se mettre. — Aller passe-moi tes papiers va. Je lui tendis mon permis et les papiers de la voiture. — Ok, super. Souffle là-dedans maintenant. Je pris l’espèce de tube qu’il me tendis et soufflais, le moment de vérité était arrivé... — 0,3 gramme ma chérie, pas de chance, dit-il d’un air joyeux, si vous voulez bien descendre du véhicule mademoiselle. Il m’ouvrit la portière, presque en sautillant. Je serrai les mâchoires, fort. Quentin ne savais pas quoi faire. — Pour vous Monsieur il y a un bus qui passe ...
... à trois rues de là, vous devriez vous dépêcher si vous ne voulez pas louper le dernier, lança James d’un air triomphant. Et voilà, ma soirée était foutue. Une part de moi le haïssait à cet instant, j’avais envie de le frapper. Quentin parti sans demander son reste. « Poule mouillée va » pensai-je. — Viens par là Serena. Il me prit par le bras, maintenant il avait l’air très énervé, ce qui me fis plaisir, je n’étais pas la seule comme ça. Il m’amena un peu plus loin, derrière sa voiture. — Monte. J’obéissais, excitée malgré moi, et rentrais dans sa voiture, à l’arrière. Il monta à côté de moi et me détailla. J’eu l’impression qu’il appréciait ce qu’il voyait. — Pourquoi tu fais ça ? Lui demandai-je d’un air blasé. — Oh je t’empêche de faire une erreur, répondit-il, ce gars c’est pas ton style. — Depuis quand tu connais mon style ? — Il était trop... gentil. Il posa une main sur ma cuisse et commença à la caresser. Je les resserrais, essayant de lui échapper mais il accentua sa prise. Puis son collègue Léo entra dans la voiture, place conducteur. Mais James n’enleva pas sa main. — Alors c’est elle ta dulcinée ? Rigola-t-il, ça va elle est pas mal ! Un peu maigrichonne peut-être. Pour la première fois de la soirée, j’étais saoulée d’être analysée comme un morceau de viande. Je descendis ma jupe sur mes cuisses le plus que je pu, enlevant la main de James de force au passage. — Tu as parlé de moi ? Demandai-je. — Oh ben vu comme il a eu du mal à se concentrer au boulot c’était ...