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Le repas de Pascal (1)
Datte: 07/03/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
Le repas de Pascal Je me promène dans Toulouse, nous sommes en juillet 1976, il fait une chaleur à crever, je suis habillé d’une chemisette en jean très léger avec des pressions à la place des boutons et d’un short de sport, simplement tenu par sa ceinture en élastique. Bien sûr, je ne porte pas de slip. Je décide d’aller dans un cinéma porno du centre-ville pour m’exhiber un peu et surtout être dans une salle climatisée. Je me suis fait un lavement approfondi, j’espère qu’il va se passer quelque chose. Depuis deux ans, c’est le règne du porno, il y en a partout, il est même difficile de trouver un cinéma « normal ». C’est le cinéma que je fréquente le plus souvent car il possède un balcon et est assez confortable, les places sont grandes. Comme d’habitude, j’enlève mon short et ma chemisette en montant les escaliers. J’arrive à poil en bas du balcon, je jette un œil pour vérifier s’il y a du monde, il y a huit personnes. Je traverse le balcon pour aller m’assoir sur un siège au bord de l’allée centrale. Sans avoir un énorme engin, j’ai une bite un peu au-dessus de la moyenne, elle ne passe pas inapercue. Je commence à me masturber lentement, je veux rester bandé le plus longtemps possible, j’ai le temps. Quand ma bite est bien raide, je me lève et me déplace sur le siège de l’autre côté de l’allée centrale. Une minute plus tard, un homme vient s’assoir à côté de moi. Lui aussi porte un short et une chemisette, mais il est toujours habillé. Il se penche vers moi. –Tu ...
... t’appelle comment ? –Jean, et toi ? –Pascal, tu viens souvent ici ? –Au moins une fois par semaine, je viens en général le jeudi après-midi, je suis plus libre, mais je ne t’ai jamais vu. –Normal, je ne viens jamais le jeudi, je bosse, je suis à Toulouse depuis quatre ans, j’habite tout à côté, mais j’avais un boulot de dingue, je bossais de deux heures du mat à dix heures et dormais jusqu’à dix-huit heures. Je viens de changer, et comme je ne connais pas très bien le centre-ville, je prospecte. –En allant dans un cinéma porno ? –Ça, c’est pour la drague, je suis venu avec des potes, on aime bien se faire un ou deux mecs. –Avec leur consentement j’espère. –Bien sûr, que du plaisir pour tout le monde. Il pose sa main sur ma bite, je le laisse faire, en fait, je suis là pour ça. Je pose ma main sur son short, et là, stupeur, je tombe sur un énorme morceau de chair plus ou moins molle. Déjà, au repos, il est énorme. Il m’arrête. –Tu veux t’amuser un peu ? –Si c’est me faire mettre ton engin, je veux bien. –Mon engin et peut être d’autres, tu en es ? –Je suis là pour ça. –Alors viens, suis-moi. Il se lève, traverse le balcon et descend à l’étage inférieur, je le suis à poil en tenant mes fringues à la main. Des mains s’égarent sur mes fesses et ma bite toujours raide quand je passe le long des allées, ça me plait. Il va dans une pièce entièrement vitrée sur deux côtés et éclairée. Il y a déjà trois autres hommes qui nous y attendent, ils sont nus et bandent ferme. Il ferme la porte de la ...