1. Levé dans le Métro.


    Datte: 07/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    (fiction partielle écrite en 07.2003). Le beau temps est revenu et avec le soleil qui chauffe, les tenues des femmes se sont allégées même si certaines ont conservé le pantalon pour les trajets notamment pour aller au boulot ! Je les regarde avec envie de vieux barbon sur le retour… Mais il y a bien longtemps que je ne cherche plus l’aventure au coin d’une rue. Comme chaque soir dans le métro de Paris et ce, malgré les vacances, c’est la cohue. C’est à croire que tout le monde quitte le travail à la même heure… C’est vrai que dans ce domaine, les patrons français ne font pas tellement preuve d’initiatives : Il n’y a qu’à se rappeler le nombre de personnes faisant du télétravail par rapport à certains autres pays… Bref, ce vendredi en fin de journée, je me suis faufilé tant bien que mal à l’opposé de la porte car j’allais pratiquement au terminus de la ligne. Nous étions serrés les uns contre les autres, sujets aux cahots du train et nous ne pouvions pas faire grand-chose pour échapper à certains contacts… Mais ce contact, je ne l’ai pas recherché. Une femme, trente ans environ, avec des cheveux noirs ondulés et coiffés en queue de cheval s’est appesantie un peu trop longuement contre moi après avoir été bousculés dans une courbe de la ligne. J’ai senti contre mon bassin les douces rondeurs de ses fesses et, collé contre la paroi vitrée, je ne pouvais pas me dérober… Cette coquine (car c’en était vraiment une) a ondulé de la croupe si bien que je me suis mis à bander dans mon ...
    ... boxer… et elle a continué son petit jeu sensuel. Elle ne pouvait pas ignorer ma bandaison car elle s’était arrangée pour que mon sexe roule entre ses fesses ! Et je bandais de plus en plus en apercevant son joli minois dans le reflet des vitres : de grands yeux noirs légèrement fardés, une bouche pulpeuse avec des lèvres bien dessinées, entrouvertes sur des dents étincelantes… Lors d’un mouvement de voyageurs descendants et montants, elle s’est retournée face à moi avec un grand sourire, elle m’a dit : • Alors vieux coquin, çà t’a plu ? Que rétorquer ? Dire NON, ce serait passer pour être un malotru ! Bref, ne m’offusquant pas de me faire traiter de vieux, j’ai répondu : • Oui, bien sûr ! C’était très agréable ! Là-dessus nous avons engagé la conversation et fait connaissance. En fait, nous étions presque voisins dans une cité au nord de la capitale… Si bien que nous avons fini le chemin ensemble. Sonia me dit à l’entrée de son immeuble : • Viens, je t’offre le pot de l’amitié ! Comme en ce moment je n’avais pas de copine, je ne voyais pas d’inconvénients à accepter cette invitation : • OK ! Çà marche, personne ne m’attend ! Nous sommes entrés dans un petit immeuble résidentiel en bordure du périphérique et l’ascenseur nous a emmenés au 6ème et dernier étage. Dès que nous sommes entrés dans son appartement, elle s’est retournée vers moi et m’a tendu ses lèvres : • Embrasse-moi ! Tu en meurs d’envie et moi, j’ai envie de baiser ! Allais-je refuser ? Certainement pas ! Pourquoi ...
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