Petit bourgeois surdosé (3)
Datte: 07/03/2020,
Catégories:
Gay
Je n’avais aucune idée de ce qui allait se passer mais j’étais terriblement excité. Je n’avais pas cessé de regarder des films de cul et de me renseigner sur le net pour savoir comment bien encaisser une bonne sodo, quelle était la position la plus confortable pour le passif, la meilleure pour l’actif, comment bien préparer sa chatte et la rendre clean.... J’avais une envie folle d’être repris. Je ne croyais pas que Florian nous reconduirait au terrain vague où j’avais perdu mon pucelage, mais je l’espérais vivement. Même si j’avais eu mal au cul un long moment après cette tournante et que j’avais mis du temps à récupérer de la fatigue, j’avais hâte de retrouver mes compagnons de jeu. Trois ou quatre d’entre eux, très bien membrés ou très bons baiseurs, m’étaient resté comme un agréable souvenir que je pensais impérissable. J’imaginais les odeurs de mâles. J’en rêvais. J’avoue même que, depuis, à la salle de sport, étant seul dans les vestiaires, j’en avait profité pour sniffer le slip d’un mec qui me plaisait... et le soir je sniffais le mien... pour retrouver ces effluves d’hommes auxquelles j’étais devenu très sensible subitement... et j’adorais ça. Pendant que je fantasmais à demie, les kilomètres défilaient. Florian conduisait vite et nous prîmes un itinéraire qui confirma mes soupçons. On ne retournerait pas au squat... On quittait la ville. Tant pis... ou tant mieux peut-être.. On verrait bien. Après une vingtaine de bornes, il prit un chemin à toute vitesse, ...
... soulevant un nuage de poussière. Je regardai derrière moi pour repérer l’endroit. Sait-on jamais ! Dès que la route eût disparu de nos regards, Florian s’arrêta et nous fit sortir. - A poil ! Je crus qu’il allait nous sauter là en pleine nature et je m’imaginais des gens postés dans les arbres pour nous espionner. Mais il n’en fut rien. Nous remontâmes dans la Jaguar et nous nous trouvâmes devant une barrière. - Salut Daniel, dit notre chauffeur. Le gros homme rougeot, dans la guérite, lui répondit en levant un pouce en l’air. Il était dégoulinant de sueur. Elle perlait sur ses tétons et rendait son torse luisant. C’était visible à l’œil nu malgré les quelques mètres qui nous séparaient. En général, je n’aime pas les gars trop ronds, trop gros. Mais ses pectoraux étaient puissants et son ventre très tendu, au point que le nombril saillait comme un petit téton, n’était pas tombant mais très ferme au contraire. Chauve, il avait une tête ronde, éclairée par un immense sourire que soulignaient des lèvres épaisses et gonflées de sensualité. Le mec nous regardait avec concupiscence. Etait-il pour Marie-Clotilde, pour moi ? Les deux ? Il se dégageait de lui une telle puissance que, malgré son âge (entre quarante cinq et cinquante au juger), il m’excita. Ce n’est pas que je le trouvasse sexy, mais il avait une sorte d’animalité qui m’attirait. J’en étais encore à ces considérations quand nous atteignîmes une carrière ou nous attendait une bonne vingtaine de mecs, la plupart quadragénaires. ...