-
Chienne (9)
Datte: 23/09/2017, Catégories: Zoophilie,
... mon sexe dans ma main et j’ai commencé à le masturber. Sa caresse était agréable, mais il ne m’a pas fait jouir, par contre, lui, il se laissa aller dans ma main. Celle-ci fut entièrement maculée de son sperme épais et abondant. Je ne savais comment la nettoyé, il prit son slip qui était au pied du lit et me le donna pour m’en servir comme une débarbouillette. Pas très propre comme procédé, mais faute de grive, mangeons des merles et fautes de torchon utilisons son caleçon. Il s’est mis ensuite sur le côté et s’est endormi. J’ai, quant à moi, laissé vaquer mes souvenirs, mais finalement je n’ai pas tardé à l’imiter. Je fus réveillée au petit matin par une étrange sensation entre mes cuisses. J’étais nue et la couette qui couvrait mon corps cette nuit avait disparu. Les yeux toujours fermés, je ne savais pas vraiment si je dormais encore ou si j’avais le pays des songes pour émerger dans la réalité. Je sentais un souffle chaud sur mon pubis sans arriver vraiment à en découvrir l’origine. Il me fallait ouvrir les yeux pour le savoir, mais l’intuition féminine avait déjà plus ou moins répondu à cette question et j’avais peur de découvrir que celle-ci ne se trompait pas. Une main pris mes chevilles et écarta mes jambes pour faciliter l’accès à mon intimité. Le souffle chaud qui avait disparu pendant la manœuvre est revenue à la charge, puis, toujours les yeux fermés, j’ai senti le premier contact avec cet intrus… je devinais de mieux en mieux, je savais de plus en plus… mon ...
... intuition ne m’avait pas laissé tomber, le souffle s’était approché et le contact avait eu lieu. La truffe avait humé mon odeur intime et comme pour mieux s’en saisir, elle était venue se plaquer contre mes grandes lèvres. Je savais qu’André me regardait, c’est lui qui avait pris mes chevilles entre ses mains et qui avait par son geste écarté mes jambes et maintenant il observait avec attention ce qui se passait. Nous en avions plus ou moins parlé, il ne m’avait pour autant averti de son passage à l’acte. Avait-il programmé tout cela depuis la veille ou l’idée lui était-elle venue ce matin ? Peu importe ! Il l’avait conduit jusqu’à sa chambre et maintenant il examinait ma réaction. Bien entendu, il n’imposerait rien, je n’avais qu’à resserrer les cuisses ou repousser la tête de l’intrus pour qu’André fasse sortir son ami de la chambre, mais je restais allongée, les jambes écartées et les yeux toujours clos. Immobile et passive je laissais ce souffle chaud caresser ma peau nue entre mes cuisses et ce museau fouiller mon intimité à la recherche d’une hypothétique friandise. Je m’attendais à une autre approche, le chien reniflait et donnait quelques petits coups de museau, mais aucune langue vint titiller mon petit bouton magique, la longue langue pendante qui laisse présumer une fouille profonde, ne s’était nullement manifestée. Dire que j’étais déçue serait excessif, mais simplement surprise. Le chien humait, semblait s’interroger sur ce lieu odorant qui lui était présenté, mais ...