1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°738)


    Datte: 08/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... confortable fauteuil, derrière un immense bureau avec un verre de Martini à la main et un cigare La Havane. Face à Lui, Monsieur Blowell. A ces côtés un homme, jeune, tient un parafeur. Je reste en retrait quelque peu en attendant que la conversation se termine. - Encore une fois, c’est un très beau projet Monsieur le Marquis. Nous venons de signer un bon contrat, je suis heureux encore une fois que la banque Morgane Stanley puisse vous accompagner. Vous savez bien qu’avec nous, nous vous suivrons toujours sans aucun problème dans vos investissements financiers et immobiliers ! - Je savais que je pouvais compter sur vous, même si les sommes mises en jeu sont très importantes, mais vous connaissez bien ma gestion rigoureuse. Je vous ai fait gagner de l’argent, beaucoup d’argent Monsieur Blowell. - C’est exact, Monsieur le Marquis, mais voyez, nous savons être reconnaissants, nous vous réclamons juste le minimum de garanties, justes celles que nous impose la loi, lui répond Monsieur Blowell en se levant de son fauteuil et en contournant son bureau pour venir à ma rencontre. Merci encore de votre confiance laquelle vous le savez, vous n’aurez rien à redire…. Je vois ledit Monsieur Blowell s’approcher près de moi, sourire aux lèvres, me contourner en me dévisageant de la tête aux pieds. Il reprend son dialogue : - Surtout que vous savez toujours m’apporter du plaisir ! lance-t-il d’une voix monocorde. Et là subitement, je ne comprends plus rien, ou si, plus exactement je ...
    ... commence à tout comprendre. Monsieur Blowell de son index replié me soulève le menton, me lance un regard froid et vicieux, puis m’attrape par la cravate et m’entraine ainsi juste devant son bureau. Mes cuisses se heurtent au montant de cette table mais toujours tiré par la cravate, je n’ai d’autre choix que d’incliner mon torse et de poser ma poitrine sur le plateau du bureau. - Votre secrétaire particulier à un cul plutôt saillant sinon arrogant Monsieur le Marquis ! lance Monsieur Blowell tout en tirant fermement encore sur la cravate et en riant perversement. Une main se saisit de ma chevelure, je suis contraint à redresser la tête. - Et une bouche sans doute toute autant délicieuse. Le Maître, toujours assis, sirotant son Martini, tirant une bouffée de son impressionnant cigare, ne dit pas un mot, je sens son regard porté sur moi, attentif à mes moindres et éventuelles défaillances.... Je me laisse conduire et faire. Des mains, celles du jeune banquier se tenant tout à l’heure près de Monsieur Blowell, ont glissées sous mon abdomen, et cherchent le bouton fermant mon pantalon. En en un rien de temps je me retrouve cul nu, chemise et veste retroussées à mes épaules. J’entends pour la première fois, le jeune banquier m’interpeller : - Ne t’a-t-on pas appris à écarter les cuisses et cambrer ton cul ? petite salope. J’obéis dans l’instant sans rien dire. Mais le même jeune banquier intervient de nouveau. - Ne t’a-t-on pas appris à t’excuser chienne ? Deux claques tombent sur mon ...