1. Tâches ménagères


    Datte: 23/09/2017, Catégories: fh, couple, BDSM / Fétichisme Oral

    ... repassage. Elle reprit son activité sans s’être rendu compte qu’elle m’avait terriblement excité. J’avais juste eu le temps de m’imaginer la prendre brusquement par-derrière… Mon sexe avait légèrement gonflé à cette pensée. Je me reconcentrai sur la suite du match de rugby. Après quelques minutes de repassage, elle m’annonça gaiement avoir fini son repassage. Elle revint alors au même endroit ranger les derniers vêtements repassés. De nouveau, sa posture tendit son shorty ; de nouveau, j’imaginai lui enlever son shorty et la pénétrer par-derrière. Je précise que par derrière ne signifie pas sexe anal ; il s’agit juste de la position. J’adore la pénétrer par-derrière comme en levrette. Amélie n’aime pas la sodomie. Pour ma part, je ne suis pas excité par cette pratique, nous sommes donc d’accord sur ce point. Mon sexe commençait à nouveau à gonfler. C’est alors qu’elle me demanda de lui donner mon pantalon et mon polo pour aller faire une machine à laver. Je refusai prétextant regarder le match. Amélie insista, indiquant que cela lui permettrait de compléter une machine et que sans mes affaires elle ne pouvait pas finir. Je prétextai qu’elle avait bien travaillé, et dans un élan de générosité, je lui dis qu’elle méritait de se reposer et que la machine pourrait attendre le lendemain. Devant mon refus, elle s’approcha de moi pour me déshabiller contre mon gré. Elle approcha alors sa main du bouton de mon pantalon. Je ne me laissai pas faire et me tournai sur le canapé pour ...
    ... qu’elle ne puisse pas défaire le bouton et me déshabiller. Elle se jeta sur moi pour me forcer à me déshabiller et mit toute sa force pour me retourner. Elle n’y parvint pas compte tenu de notre différence de taille, de poids et de force. Elle réussit tout de même à glisser sa main sur mon entrejambes. En une fraction de seconde, le bouton sautait et la fermeture éclair descendit légèrement. Elle constata une bosse sous mon pantalon. Elle avait compris… — Bah chaton, qu’est-ce que tu as ? me dit Amélie laissant sa main sur mon entrejambe avec un petit sourire. Je répondis que j’avais vu une superbe fille qui cherchait à m’exciter à moitié nue… Elle se releva et se dirigea vers la cuisine. Elle revint deux secondes plus tard avec un bonbon à la menthe. Je compris immédiatement à la vue de ce bonbon que mon match de rugby était terminé et qu’elle avait envie de moi. À peine avait-elle mis le bonbon dans sa bouche qu’elle commença à baisser mon pantalon. Je n’opposai plus de résistance. Elle baissa ensuite mon short et se saisit de mon sexe. Inutile de vous dire que j’étais déjà surexcité : dix-sept centimètres de plaisir… Amélie commença le traitement par des va-et-vient très lents de la main droite. La main gauche parcourrait mon torse. Sa bouche faisait quelques bisous sur l’intérieur de mes cuisses. Les bisous se rapprochaient dangereusement de mon sexe. Amélie augmenta alors légèrement le rythme de sa masturbation ainsi que la pression en serrant plus fermement. Elle savait ...