Chapitre I - Tribulations sensuelles
Datte: 23/09/2017,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
Oral
champagne,
yeuxbandés,
fouetfesse,
... redescendre brusquement et cingler promptement sur mes fesses mafflues. Une fois, deux fois… redressage pour ne pas avoir gardé la pose. Brûlante est la caresse… — Ecarte mieux, ma douce… encore… répète Monsieur à deux fois d’une voix calme posée. La cravache s’insinue partout, faisant le tour des chairs tâchées de rousseur. Elle flatte la peau à travers le fin tissu noir, les seins et s’amuse avec dextérité sur ses extrémités… puis le sexe lisse, les grandes et petites lèvres ainsi que son bouton. Elle agace, asticote… joue avec les sens… douceur agréable chevauchée de petits coups piquants… Mes pointes de seins s’élèvent, toutes gorgées, gonflées et dures… prêtes à se donner à une bouche ventouse, à des dents mordantes, à des pinces de morsure… La cravache revient… Une fois, deux fois, trois fois, quatre, cinq… elle s’abat cinglante… claquement sur les fesses rougissantes, qui m’arrachent des petits cris… punition pour avoir bougé. — Ne bouge pas… en place ! susurre cette voix envoûtante à l’oreille, toujours avec un calme olympien, mais ferme. Monsieur a ouvert la bouteille de champagne. J’entends le ploppp… un verre s’emplit… puis un deuxième. Des bulles pétillent sous mon nez. Ma bouche est pâteuse, mon palais sec par mes respirations buccales fortes. Il me donne à boire, ça fait du bien et une douce euphorie monte en moi. Quelques larmes de fraîcheur s’échappent de ma bouche pour atterrir sur ma poitrine, longeant mes courbes rondes et charnues… Ses mains froides ...
... caressent avec tendresse mes lunes joufflues, gonflées et rosies par la cravache… fraîcheur contrastant avec la chaleur, la chair de poule fait frémir mon épiderme… Sa langue humide leur amène un peu de calme et de douceur pendant que ses doigts effleurent mon mont de Vénus si soyeux, si doux et surtout si lisse. Puis ils glissent plus profondément vers mon sexe. Ils entrouvrent mes grandes lèvres, puis titillent les petites en les pinçant, en tordant perversement leur bordure dentelée et pénètrent sans gêne… dans cet orifice avenant… dans ce gouffre chaud et humide. Continuant à exciter les petites lèvres, les étirant, Monsieur délecte du jeu, comme il le souhaite pour notre plaisir. Mon entrejambe brûle de désir, ses attouchements ont augmenté la température du lieu. — MMmmmm… Mais t’es bien excitée… Oui… trempée… ta cyprine coule… ma douce ! Ses termes deviennent de plus en plus crus et directs. Je devine son sourire carnassier. Ma bouche ne peut émettre que des sons étouffés, des râles d’envies, de plaisirs… elle reste fermée aux mots, mais pas aux maux ! Monsieur me prend par les cheveux, me guide vers le lit et me fait asseoir. Ouvrant mon chemiser, il pince les extrémités de mes seins entre son pouce et son index ce qui a pour but de les faire gonfler encore plus. Il les fait rouler en les étirant de plus en plus sévèrement. Il pose à chaque bout, une pince qui pénètre la chair rose des tétons. En plus de la surprise de la morsure, mes sens chavirent et ma tête tourne… un ...