1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°833)


    Datte: 10/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Fanny au Château – (suite de l'épisode précédent N°832) - Une bonne semaine s’était écoulée. Fanny occupait désormais le cachot N°6 dans la crypte du Château pour les nuits où son Maître ne faisait pas appel à sa présence dans son lit pour agrémenter sa sexualité selon son bon plaisir. Une chaîne d’environ 2 mètres était accrochée à l’anneau métallique qu’elle portait désormais au pied. L’autre extrémité de cette chaîne étant scellée à un épais anneau au mur de pierre. Un matelas tot de même confortable et de chaudes couvertures en guise de literie. 4 esclaves occupaient aussi ce cachot, une autre femelle e46 et 3 mâles encagés serf69, e541 et e722. Quand aux journées, elles se passaient avec des rites ordonnés et réguliers. Comme par exemple, dès le lever, préparation et prise du petit déjeuner dans le réfectoire des esclaves, pièce accolée aux cuisines du Château. Fanny avait été affecté pour aider Marie (la Cuisinière). Celle-ci habituée à diriger les nouvelles venues, commandait sans concession fanny qui souvent subissait le sadisme de la gouvernante. L’image de la pauvre Cendrillon récurant le carrelage à genoux par terre prenait tout son sens, à la différence que fanny n’avait pas de haillons mais était plutôt dénudée. Souvent Marie inspectait la propreté, et n’hésitait pas à lui donner le martinet sur les fesses de la soumise. Il arrivait aussi qu’un dominant passant dans les couloirs, venait prendre fanny en levrette pendant que celle-ci frottait cul nu et relevé ...
    ... le sol avec une brosse. Les corvées d’épluchage des légumes étaient aussi très avilissante car assise et systématiquement plugée à la longue table de chêne massif. Fanny ne devait en aucun cas lever la tête, et avec ses congénères, elle devait s’appliquer à la tâche sans dire mot. Le silence des esclaves était une règle d’or. La douche aussi était humiliante puisque il n’y avait aucune intimité, et les esclaves se lavant toujours tous ensemble. Et de nombreuses fois, elle était doigtée, pénétrée par des doigts ou la queue du vicieux Walter ou par d’autres esclaves femelles ou mâles. Le lendemain d’une soirée où fanny avait été prêtée à des notables de la ville, invités du Marquis, ces bourgeois avaient su apprécier cette chienne offerte pour leur unique plaisir. Le lendemain donc, en début d’après-midi et alors qu’elle rangeait la volumineuse vaisselle dans une imposante armoire d’époque, Marie lui dit sèchement : - Quand tu auras fini, tu viendras avec moi à la grande salle de bain. Nous aurons du travail avec quelques chiennes, à te préparer pour la cérémonie de cette fin d’après-midi… - Bien Ma.. Madame Marie… Mais …quelle cérémonie, s’il vous plait, Madame Marie ? demandait fanny avec crainte - Comment, ton Maître ne t’a rien dit ? C’est dans deux heures que tu seras marquée au fer rouge des armoiries des Evans. Ici on ferre les esclaves depuis les années 1750, dit Marie avec fierté. Il y a même un ancêtre de Monsieur le Marquis qui a fait ferrer de jeunes soumises à ...
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