1. Patrick


    Datte: 10/03/2020, Catégories: couple, cadeau, fépilée, sexshop, amour, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme jouet, sm, donjon, attache, baillon, yeuxbandés, glaçon, bougie, piquepince,

    ... dit, Patrick. Patrick hésita un instant, puis, finalement, se décida à changer de température. Sur les seins glacés par le cube froid, il laissa maladroitement tomber une goutte de cire brûlante. Anne, qui s’y attendait, parvint à ne pas crier. Elle sursauta simplement et sa respiration s’accéléra. Le jeu dura un moment et lorsque William commença à sentir que la douleur devenait trop difficile à supporter pour Anne, il y mit fin et éteignit les bougies pendant que Patrick embrassait langoureusement sa femme qui lui rendit ce baiser avec passion. Lorsque William se retourna vers ses deux invités, il sourit en les voyant lèvres contre lèvres. Ils finirent par se séparer et William annonça : — Bon, maintenant, il faut retirer la cire. Anne ? Comment la retire-t-on ?— Au martinet, monsieur, répondit Anne. Si William avait encore des doutes sur le passé BDSM d’Anne, ils venaient de s’envoler. William tendit alors l’un de ses objets à Patrick, en saisit un lui-même et commença à frapper, avec douceur d’abord, le sexe d’Anne, faisant voler des particules de cire dure. Patrick l’imita sur le haut du corps de sa femme. Lui aussi avec douceur puis il suivit Patrick dans la montée en puissance. Si Patrick était surpris, c’était par les gémissements de sa femme. Était-ce de la douleur ou du plaisir ? Il avait beaucoup de mal à le dire. Probablement un peu des deux. Il prit alors vraiment conscience de la satisfaction que sa femme avait dans de telles circonstances. Patrick finit par ...
    ... vraiment se prendre en jeu, alternant les coups doux et plus brutaux, appréciant de voir sa femme réagir à chaque coup. Il adora par-dessus tout ses sourires complets à chaque répit qui lui était donné. Enfin, William décida de ranger les martinets, retira à la main les dernières traces de cire froide sur le corps d’Anne et souffla : — Alors, Anne, tu désires avoir du plaisir ?— Oui, monsieur, répondit-elle dans une voix ressemblant presque à un miaulement. Cette voix, Patrick ne l’avait jamais entendue mais il lui semblait que tout son corps et son âme voulaient l’entendre encore et encore. — Elle le mérite, vous croyez ? demanda William en se tournant vers Patrick.— Je crois que oui, répondit-il avec un grand sourire. Patrick vit alors William prendre le vibromasseur. Anne gémit à peine l’instrument vibrant avait-il été apposé sur elle. Alors qu’elle n’avait pas encore demandé à jouir mais que son plaisir était évident, William s’éloigna amenant un gémissement chez Anne révélateur de son déplaisir. — Je crois, cher Patrick, que votre femme n’attend plus que vous. Et je crois que vous en crevez d’envie. C’est votre femme, alors donnez-lui ce qu’elle réclame depuis une semaine. Patrick sentit une bouffée de plaisir envahir son corps. Oui, il bandait depuis un bon moment déjà. Il ne se le fit pas dire deux fois. Anne poussa un cri de plaisir presque bestial lorsque le sexe dur et chaud de son époux entra en elle. Patrick ne se souvenait pas avoir eu un tel plaisir. Il commença en ...