1. 6 billets de 50 euros


    Datte: 11/03/2020, Catégories: fh, fplusag, inconnu, prost, hotel, boitenuit, Oral pénétratio,

    Je m’appelle Paul et j’ai 26 ans. Il y a deux ans j’arrivai à Paris. Mes parents m’avaient mis à la porte après une aventure furtive avec l’épouse de mon frère. En fait c’était plutôt chaud… Quoi qu’il en soit je cherchais déséspérement un travail pour vivre. Comme je n’avais aucun diplôme, peu de choix s’offraient à moi; je commençai donc par un petit boulot pour la municipalité, autant dire ramasseur de crotte. Ce qui étonnament me permit de trouver le second boulot: en passant pour ramasser les poubelles du côté de Pigalle je vis qu’on cherchait un serveur pour un bar de strip-tease. J’entrais tout à fait dans les critères qu’ils cherchaient: jeune homme(max30 ans), torse musclé et de préférence avoir un beau visage. Je me dis que j’avais bien fait de continuer à m’entretenir le corps. Je me présentai donc au patron. Il me demanda de me mettre torse nu, de porter un plateu plein de verres d’un point à un autre et il fut satisfait. Il me soumit alors ses conditions: salaire fixe assez bas mais je garde tous les pourboires, tout ce que je fais en dehors des heures de travail ne l’intéresse pas mais je dois être là à l’heure, et pendant que je suis là, je ne fais rien d’autre que ce pour quoi je suis payé. "Mais t’inquiète, ajoute-t-il, ce boulot va te faire prendre plein de gonzesses." En effet, le soir même commence mon nouveau job. Je suis en pantalon noir, torse nu, affublé d’un faux col à noeud pap’s et de fausses manches, comme dans les films. Une multitude de femmes ...
    ... en chaleur se pressent aux entrées. Le travail est épuisant, mais galvanisant. Jamais autant de personnes de la gente féminine ne m’ont touché le ventre en même temps. Les danseurs qui se déhanchent en string sur le podium ne savent pas la chance qu’ils ont, là haut au moins ils sont protégés de ces furies. La première nuit de boulot m’a épuisé, mais les pourboires sont vraiment bons, je rentre dans ma petite chambre de bonne et m’écroule sur le lit. Le lendemain je me présente à 17 heures, comme on me l’avait demandé. Ce n’est pas le boss mais Martin, un autre serveur, qui m’acceuielle, je n’avais pas vraiment eu le temps de faire connaissance avec le personnel de la boîte. Nous nous étions croisé la veille, sans plus. "Aujourd’hui, m’explique-t-il, je suis là pour te montrer comment les choses marchent ici." Il commence par une visite de la réserve il m’explique comment fonctionne le rangement de cette dernière, ce n’est vraiment pas très compliqué. Il me montre ensuite les vestiaires, que je n’avais pas vu la veille, ce qui m’avait rendu un peu ridicule avec mon pantalon noir suant et mon pull au-dessus de mes accessoires dans les rues de Paris. Il m’énonce alors comment bien me faire voir du patron. Il est sympa mais exigeant. "Ne t’avise pas d’arriver en retard ou de bayer aux corneilles, tu serais immédiatement viré." Il me présente ensuite aux chippendales qui répètent. Ils sont tous très sympas mais pour une raison que j’ignore, ils ont tous des prénoms anglais, alors ...
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