1. Le redressement fiscal


    Datte: 12/03/2020, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession,

    ... parviens pas, et sens des filets qui refoulent à la commissure de mes lèvres. Je toussote un peu, il me regarde toujours, et me dit : — Que tu es belle ! Je me blottis dans ses bras, grisée par le contact rêche de ses vêtements contre ma peau nue. J’aspire à pleins poumons son odeur de mâle, puis une autre senteur, beaucoup moins agréable : j’ai oublié le loup, enfin, celui du four ! Je me précipite, presque nue, vers ma cuisine. Par chance, rien de trop brûlé ! Je réserve mon plat, et vais dans ma salle de bain pour me couvrir un peu. Il m’y rejoint, et m’arrête d’un geste lorsque je m’apprête à enfiler ma robe de chambre. Il me tend ma nuisette, transparente et très courte. Je l’enfile, et l’image que me renvoie mon miroir m’interpelle : je suis en baby-doll sous laquelle j’ai bas et porte-jarretelles ! Pendant que je dresse la table et dispose les asperges, je l’entends s’affairer ; je retourne dans la salle de bain. Monsieur y examine toutes mes affaires, crèmes, blush, rouges à lèvre, parfums, brosses, tampons, tout y passe ! Décidément, il est un vrai « fouineur ». — Lorsque Monsieur l’Inspecteur des Impôts aura fini son contrôle, nous pourrons passer à table, lui dis-je, mi-agacée, mi-amusée. Il ouvre la bouteille de vin et attaque les asperges. Il a un solide appétit, et me félicite pour mes talents de cordon bleu. Il réitère son compliment avec le bar, dont il dépouille les arêtes pour nous deux. Nos discussions vont bon train, il s’intéresse à ma perception des gens ...
    ... du bureau. Je l’interroge sur sa vie privée, et apprends qu’il est mariée à une brune, genre Thatcher des banlieues, toujours en pantalon (que j’imagine… de treillis) à qui il a fait deux adorables bambins. Au dessert, gouailleur, il me dit qu’il a demandé au garçon de café qui m’a consciencieusement matée lors de notre déjeuner de venir nous rejoindre ici. Sur le même ton, je lui demande pour quoi faire. Alors il se lève, me prend avec une vigueur inattendue le bras, et, me poussant sans ménagement au salon, il me fait culbuter sur la moquette comme une vulgaire fille de garde, en position de musulmane en prière. Relevant ma nuisette, il ôte son boxer, glisse les mains sous mon porte-jarretelles et s’enfonce sans préavis, d’un seul coup, dans ma féminité. Encore humide, je me cabre, et il me pilonne en ahanant comme un bûcheron, sans aucune attention à moi. La brutalité de ce traitement bestial et inattendu me comble, et nous explosons en parfaite symbiose, transpirants et soufflants. Il s’effondre sur moi, et nous restons un bon moment encastrés l’un dans l’autre. Je le repousse et me dirige vers la salle de bain : un désastre ! Mes bas sont filés de partout, et un des élastiques de mon porte-jarretelles a craqué. Je les ôte, et me glisse sous la douche ; il vient m’y rejoindre, la place est exiguë pour deux. Il entreprend de me savonner énergiquement, et mes seins rougissent sous ses mains énergiques ; je m’occupe de nettoyer son service trois pièces avec plus de douceur, ...