1. Le Père Noël n'est (peut être?) pas une ordure (1)


    Datte: 24/09/2017, Catégories: Erotique,

    Le Père Noël n’est (peut être?) pas une ordure Depuis quelque temps, le Père Noël était soucieux. En effet, lorsqu’il passait devant un miroir et s’arrêtait pour lisser sa longue barbe blanche, celui-ci lui renvoyait son image agrémentée de deux magnifiques bois de renne de part et d’autre de son bonnet. Cette image subliminale l’inquiétait car il se croyait sujet à des hallucinations et se demandait bien si cette année il pourrait faire sa tournée de la nuit du 24 au 25 décembre sans être obligé de changer ses lunettes pour distribuer ses cadeaux sans se tromper. Tandis que les lutins s’affairaient dans l’atelier de fabrication des présents, il se mit à ouvrir son volumineux courrier, car plus les fêtes approchaient, plus les demandes affluaient. Il y avait toujours les sempiternelles demandes de poupées, de vélos et autres idioties d’enfants qui prétendaient avoir été bien sages. Les adultes semblaient plus sérieux : certains demandaient la paix, l’amour, de l’argent pour faire le bien autour d’eux. Les plus coquines demandaient des accessoires de plaisir comme cette Erika Dupeau qui voulait un vibromasseur gyroscopique, ou encore une Émilie Méblag qui souhaitait recevoir des boules de geisha à sustentation magnétique. Mais où allaient-elles chercher ça ? Au milieu de toutes ces demandes, la lettre d’un certain Pierre retint son attention, dont voici quelques extraits : « Tout d’abord, je t’informe, parce que quand on est cocu on est toujours le dernier à le savoir... Eh ...
    ... bien, tu l’es ! En effet, lors de la nuit de Noël 2013, pendant que tu te gelais les couilles sur ton traîneau, la Mère Noël est venue me rejoindre dans mon lit avec sa petite guêpière rouge et blanche ; elle n’avait pas froid aux yeux, ni aux fesses d’ailleurs. Je ne l’imaginais pas « reine des galipettes » et j’ignorais qu’elle avait remporté la « Pipe d’or » du festival de Saint-Claude. Franchement, grâce à elle j’ai pris un vrai panard dans mon plumard, à tel point que j’en ai délaissé la dinde que j’avais préalablement bourrée de marrons ; elle en avait plein le fion de recevoir autant de gnons. Enfin je ne sais plus trop, car moi aussi j’étais complètement bourré avec tous les verres de whisky que je m’étais enfilés… Donc, cher Père Cocu (excuse cette familiarité), la Mère Noël vient régulièrement dans mon lit ; et lorsque qu’après nos ébats nous devisons, repus, j’en ai appris des choses, car ta chère et tendre n’était pas avare de confidences sur l’oreiller. Tu veux passer pour quelqu’un de respectable, mais en fait tu es une belle ordure… Ainsi, un soir de pleine lune elle t’a surpris dans l’étable pendant que tu sodomisais un de tes rennes en lui promettant que ce serait lui qui serait à la tête de l’attelage… C’est du propre ! Je n’ose même pas transcrire ce que j’ai pu apprendre sur les sévices sexuels que tu infliges aux pauvres lutins de la fabrique de jouets : les adultes seraient tellement horrifiés que le marché des cadeaux s’effondrerait… Je n’en dirai pas ...
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