1. Cocu passé : Mathis


    Datte: 14/03/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, grossexe, fépilée, hotel, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fgode, pénétratio, fdanus, yeuxbandés,

    ... à cet endroit-là. Après à peine deux minutes de ce délicieux traitement, je poussais un véritable hurlement de plaisir, inondant la langue de Mathis de mon jus de plaisir. Sa bouche était trempée… elle aussi ! Il avait l’air satisfait de m’avoir fait jouir aussi rapidement. Tu m’étonnes ! Mais ça ne me suffisait pas, c’était trop bien parti pour que je m’arrête là. Et puis je n’avais pas fait jouir mon maître de plaisir. Il me demanda alors de me déshabiller complètement, à l’exception des bottes qu’il souhaita me voir garder. Il me regarda me déshabiller lentement, un sourire ravi sur les lèvres (ooooh mmmmmh ces lèvres…). Il faut dire que je lui sortis le grand jeu. Pour enlever chaque bas, je me penchais bien, le cul tourné vers lui, le sexe encore dégoulinant. Je sentais mon petit trou du cul s’ouvrir à nouveau, réclamant son dû. Je lui demandai cependant de m’enlever lui-même mon soutien-gorge, ce qu’il fit de bonne grâce, agrémentant cette « gentillesse » de plusieurs petites tapes sur mes jolies fesses – qui ne demandaient que ça, les coquines ! Et voilà comment, mon cher cocu, je me suis retrouvée toute nue – ou presque – au milieu de ce bureau magnifique, en face d’un homme qui me provoquait des envies comme je n’en avais jamais eues. Mais il était encore habillé, et je ne trouvais pas ça équitable. Je lui en ai fait part et il m’a répondu : — C’est injuste, c’est vrai, mon Ava adorée, mais c’est comme ça. Le Maître, ici, c’est moi. Je suis dans mon bureau, je ...
    ... dirige cette boîte, et ce soir je décide de tout. Je décide quand j’embrasse, je décide quand je lèche, je décide quand je prends. C’est à prendre ou à laisser, ma belle Ava. Te sens-tu un peu inférieure comme ça, toute nue devant moi qui suis habillé ? Je te signale au passage qu’il y a du monde dans les bureaux ce soir, parce qu’ils fêtent un départ à la retraite d’un de mes cadres, et que si quelqu’un te voit dans cette « tenue » je ne lui cacherai pas que tu es ma chienne d’un soir – ou plus si tu le souhaites. (Quel génie ce Mathis, mon chéri ; il a tout de suite déduit de mes expériences passées cette volonté de m’auto-diminuer, de me réduire, de me soumettre, d’obéir à l’homme qui saura me donner du plaisir.) — Oui.— Oui qui ?— Oui, mon Mathis.— Je ne t’appartiens pas, mais j’accepte le « mon » Mathis. Qu’attends-tu de moi exactement, Ava ?— Je veux que tu me souilles, que tu me salisses, que tu me baises, que tu te répandes sur moi, je veux être le réceptacle de ta jouissance, je ne te demanderai même pas de mettre de préservatif, je veux sentir ta queue nue dans mon ventre, dans mon cul, sur mes seins, dans ma bouche, dans…— Dans ta bouche ? Visiblement, tu n’as pas une idée précise de la taille de ma queue… Mais tu le sauras bien assez tôt.— Je peux te déshabiller, mon Mathis ?— Oui, tu le peux. Je serai ton maître mais je n’userai pas de violence contre toi. Je veux juste que tu te sentes ma soumise sur le plan mental. Les chaînes et les clous, ce n’est pas trop mon ...
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