Des camarades de classe (4)
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
Gay
... pas vraiment et répondit vite à l’appel. ─ Philippe, j’ai vraiment besoin de ton sexe, je n’arrive pas à fermer l’œil. ─ OK, OK ! Moi aussi, mais allons dans la chambre de ma sœur : mes parents dorment juste en dessous de la mienne, et si le lit bouge ils risquent de se poser des questions. Ils se glissèrent sous les draps roses, et lorsque Philippe voulut caresser les fesses de Cyrille, il sentit le coton du shorty. La matière et la coupe inhabituelle le laissèrent perplexe ; il alluma la lampe de chevet pour constater que Cyrille portait un des sous-vêtements de sa sœur. ─ Ah, la vache ! Ça te fait un joli petit cul, ma garce. ─ Tu veux bien commencer par me sucer ? J’ai la bite en feu tellement je suis excité, demanda Cyrille. ─ OK, mais tu vas prendre cher ensuite. ─ Je ne demande que ça, répliqua Cyrille, les joues rosies par l’excitation. Cyrille baissa à peine le shorty et le coinça sous ses couilles. Philippe engloutit le sexe tendu et Cyrille soupira aussitôt de plaisir. La salive sur sa queue le calmait quelque peu, comme les gouttelettes d’un brumisateur sur le visage en période de canicule. C’était en quelque sorte une canicule culaire, et il s’apprêtait à se faire bien encaniculer. Cyrille éjacula rapidement dans la bouche de Philippe qui vint lui rendre sa semence en un bouche-à-bouche rapide. A peine avait il absorbé son sperme que Cyrille se tournait, présentant sa croupe aux assauts plus qu’attendus. Philippe fit glisser la culotte rose et laissa couler sa ...
... salive entre les fesses que Cyrille maintenait bien écartées. Philippe pressa son gland contre la rosette de son ami et poussa d’un coup. Le gland était entré mais il le ressortit, recracha un peu de salive. Cyrille le supplia de le pénétrer à fond. ─ Suce ma bite et laisse toute la bave que tu pourras dessus. Cyrille s’empressa de s’exécuter. Quand il estima avoir bien lubrifié le membre, il se retourna. Philippe l’enfila jusqu’à la garde sans crier gare. La tête dans l’oreiller pour étouffer ses gémissements, Cyrille tendait le cul et en redemandait. Qu’à cela ne tienne, Philippe lui pilonnait le fion sans ménagement. Il s’amusait à ressortir complètement sa bite avant de la lui enfiler tout aussi complètement. A chaque sortie, il vérifiait que la rondelle s’ouvrait un peu plus. Le pilonnage dura plusieurs minutes, et quand il sentit qu’il allait jouir, il sortit sa bite et déchargea son foutre sur la rondelle. Philippe était tellement excité par la culotte rose de sa sœur qui ornait encore les cuisses de Cyrille et par la présence de ses parents qui ne se doutaient de rien à l’étage en dessous qu’il ne débanda même pas et se remit à pilonner le cul de son ami qui prenait avec délectation ce supplément de sodomie. Comme il venait de jouir, Philippe dut lui ramoner le trou encore plus longtemps avant de pouvoir en remettre une deuxième couche, pour le plus grand plaisir de Cyrille qui ne démordait pas l’oreiller. ─ Comme ça pendant tout le mois, et je te jure que je vais ...