1. Mélange d'histoires vraies et rêvées


    Datte: 14/03/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail ascenseur, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme chaussures, Oral

    ... me dit-elle.— Excuse-moi, c’est sorti comme ça.— Je plaisante, c’est vrai qu’elle très mignonne.— Elle te plaît aussi ?— Si j’avais envie d’une fille, oui.— Huuummmm— N’y pense même pas, obsédé. Et nous éclatâmes de rire. Arrivés devant la bouche du métro, je lui pris la main et l’attirai vers moi pour l’embrasser doucement jusqu’à glisser ma langue entre ses lèvres. — Il faudrait que l’on se voie plus longuement— Oui, j’aimerais, mais pas facile avec nos familles.— Je vais y réfléchir, on pourrait s’organiser un « séminaire de travail ».— Pas bête, on pourrait aller au fond des dossiers. On s’embrassa à nouveau et mes mains descendirent sur ses fesses. — Mmmm… Pas là, me dit-elle en me prenant par la main. Nous nous éloignâmes un petit peu et on trouva un banc à l’entrée d’un square. Céline me fit asseoir et m’enjamba pour s’asseoir face à moi. On recommença à s’embrasser et elle vint coller son bassin au mien. — Je te sens mieux ainsi.— Oui, mais je dois vraiment y aller, je vais finir par rater ma correspondance.— Avant, j’ai envie de te sentir bander très fort contre moi. Mes mains se glissèrent sous son pantalon, sur ses fesses pour encore mieux la coller à moi. — Tu me sens mieux ?— Oui, mais peut mieux faire, me dit-elle en commençant à onduler son bassin. Je glissai une main un peu plus bas jusqu’à atteindre son petit trou. — Dommage que tu sois en pantalon, lui dis-je.— Je te croyais pressé.— Ouuiii… si tu continues à te frotter ainsi, tu vas me faire jouir.— C’est ...
    ... ce que je veux. Et, à ce moment-là, elle glissa une main entre nous pour défaire ma ceinture et ouvrir mon pantalon.— Mmm… Arrête, si quelqu’un nous voit.— Dépêche-toi de jouir alors. Et tout en serrant fort mon sexe dans sa main, son bassin ondulait comme si j’étais en elle. Nos langues ne se quittaient plus, mon doigt essayait de pénétrer son petit trou, mais je n’avais pas la place et tout d’un coup je me vidai dans sa main. Elle me branla doucement pour faire venir les dernières gouttes comme on tire sur le pis d’une vache. — T’es vraiment bon, dit-elle en commençant à lécher sa main.— T’es une sacrée cochonne, lui dis-je en refermant mon pantalon. Elle finit de s’essuyer avec un mouchoir et on reprit le chemin du métro. Au moment de partir, elle mit ses doigts devant le nez et me dit : — Je vais garder ton odeur pour le trajet du retour.— Moi aussi, fis-je en portant ma main à mon nez. Lorsque j’arrivai le lendemain, je savais que Céline était déjà là, l’effluve de son parfum flottait dans le couloir. Ce qui me donna tout de suite envie d’elle. Sans faire de bruit, je me suis arrêté pour la regarder. Elle avait revêtu une robe pull rose qui lui arrivait aux genoux et une paire de bottes montant aussi aux genoux. Sublime, pensai-je. Je m’avançai vers elle, afférée à préparer un café et lui mis les mains sur les yeux. — Je t’avais entendu arriver— Moi qui croyais te faire sursauter, c’est raté. Mais je vais te faire frissonner alors. Et je lui remontai ses cheveux pour lui ...
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