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Très chère belle-maman
Datte: 24/09/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, alliance, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme facial, Oral fdanus, fsodo, hdanus, jouet, confession,
... intimité recouverte d’un voile translucide ? Je distingue sans forcer l’anatomie humide et les poils en broussaille. Nous discutons dix bonnes minutes à voix basse de nos futures rencontres coquines lorsque nous sommes dérangés par un crissement de pneus sur le gravier. Ma femme arrive, elle est sortie plus tôt de son travail. Belle-maman remet ses vêtements correctement pendant que je vais à la cuisine pour faire un thé. Lorsque Marine entre dans la maison, elle est heureuse d’en accepter une tasse et elle se joint à nous sur la terrasse. Beau-papa étant en déplacement, mon épouse invite sa mère à partager le souper. Elle accepte avec le sourire et je leur propose de faire la cuisine. Je suis devant le plan de travail, je pèle et découpe les légumes en vue de réaliser une ratatouille maison. Dehors quelques ceps de vigne crépitent dans le barbecue pour les côtes d’agneau qui décongèlent à proximité. Marine s’occupe du bain de Jules à l’étage et, tout naturellement, ma chère belle-mère vient me tenir compagnie. Pour cela elle n’a pas hésité à défaire deux boutons de son chemisier (ceux-là même qu’elle avait fermé quelques minutes plus tôt). Je lorgne sur sa poitrine tassée et remontée sans faire attention au couteau que je tiens dans la main. L’accident est inévitable : le tranchant vient mordre douloureusement le majeur et l’annulaire juste au-dessus de l’alliance. Je ne me rends pas tout de suite compte de la coupure, c’est le cri d’Huguette qui m’alerte. C’est le ...
... branle-bas de combat, chacune essayant de faire quelque chose mais, dans la panique, rien de constructif n’en ressort. Marine a même failli tourner de l’œil en voyant la marre de sang recouvrant les aubergines. J’enroule mes doigts dans un chiffon propre en serrant du mieux que je peux et je demande à ce que quelqu’un m’accompagne aux urgences. Ma femme prend mon sac-bandoulière et le donne à sa mère en lui disant que tous mes papiers sont à l’intérieur. Depuis son accouchement difficile, elle a une sainte horreur du milieu hospitalier et je me retrouve donc avec Huguette dans la salle d’attente de l’hôpital. Quelques bambins pleurent que les parents consolent du mieux qu’ils peuvent, des jeunes sont attroupés autour d’une de leurs camarades dont la cheville a triplé de volume et quelques personnes seules patientent dans la salle aseptisée. Il y a eu un carambolage sur la nationale 86 et donc l’attente est interminable. Mes doigts ne saignent plus grâce au pansement fait prestement par une infirmière dévouée. Après un coup de fil pour rassurer ma femme nous patientons quelques heures avant d’être pris en charge. Le médecin urgentiste diagnostique quelques bricoles pas très sympathiques et je suis bon pour une chirurgie le lendemain matin. Transporté dans une chambre individuelle (quelle chance !), on me donne un petit en-cas pendant qu’Huguette rentre chez moi pour chercher mes affaires. Lorsqu’elle revient (eh non, ma femme ne s’est pas déplacée…) j’ai déjà fini le frugal souper. ...