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Les mystères de l'Asie (7)
Datte: 16/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... et retira la culotte qu’elle portait. Elle défit la robe pour retirer également le soutien-gorge, elle était maintenant totalement nue dans sa chambre et se demandait ce qu’elle pourrait porter pour aller acheter ce que lui avait demandé son Maître. Il voulait qu’elle soit une salope, un vide-couille, alors elle ouvrit son placard, et choisit une minijupe rose flashy, souple, qui lui arrivait en haut des cuisses, pour le haut, elle choisit un petit top, rose bonbon, à fines bretelles, qui lui moulait parfaitement les seins, elle enfila tout ça, et se regarda une nouvelle fois dans le miroir. Elle constata que, comme elle ne portait aucun sous-vêtement, on pouvait facilement distinguer ses tétons, sous le fin tissu de son top, elle sentait également l’air lui glisser entre les cuisses et lui caresser la chatte, cela l’excita légèrement. Mais elle s’apprêtait à partir quand elle se dit que son maître voulait qu’elle soit une bonne salope, alors elle repartit dans sa chambre et se maquilla. Elle choisit un rouge à lèvres, rose, très chatoyant, elle insista sur le fard à joues et quand elle eut fini ses préparatifs, elle se dit qu’elle avait vraiment l’air d’une pute. Il ne lui restait plus qu’à mettre des hauts talons, et le tableau serait parfait, elle n’en avait qu’une seule paire, et elle ne les portait qu’à de rares occasions, elle n’avait pas l’habitude de marcher avec ces machins aux pieds. Elle essaya de faire quelques pas, dans l’entrée, elle se rattrapa plusieurs fois ...
... au meuble, et avec une étrange détermination pour y arriver, elle réussit à marcher correctement avec ses talons hauts. Elle avait pris le coup, sa démarche était délicatement déhanchée, ni trop ni trop peu, elle avait réussi à trouver l’équilibre parfait, et elle était particulièrement fière d’elle. Elle sortit de chez elle, dans une chaleur étouffante, comme elle n’avait pas encore le permis, elle dut marcher jusqu’à l’arrêt de bus, tous les hommes qu’elle croisa sur son chemin, se retournaient sur son passage, et mataient son superbe cul bien moulé dans sa minijupe. Cela l’excitait copieusement, elle avait l’impression qu’ils avaient deviné qu’elle était nue sous sa jupe. Mais aucun ne la suivit, elle attendit sagement, le bus et quand il arriva, elle monta à l’intérieur, sentant le regard lourd du chauffeur sur ses seins dont les tétons commençaient à pointer fièrement, elle trouva une place assise dans une zone où il y avait quatre places dont deux déjà occupées par des femmes. Le bus repartit, et à l’arrêt suivant, elle vit monter un homme d’une cinquantaine d’années, il était bedonnant, pas très beau, mais assez grand, il devait faire 1.80m, Barbara le vit chercher une place, il regarda dans sa direction, et se rapprocha de la dernière place libre de sa zone. Etait-ce les places trop exiguës ou l’homme un peu trop grand, mais elle dut écarter les cuisses pour lui permettre de s’assoir devant elle, l’homme ne lui plaisait pas, et elle avait peur qu’il remarque qu’elle ...