Nadine, la vengeance d'une maman (27)
Datte: 24/09/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... sang, Maxime, bien sûr que je m’en souviens… Je ne veux pas que tu fréquentes quelqu’un qui sait ce qui se passe entre nous… Ça me rend nerveuse. — Tu n’as rien à craindre, il n’en parlera à personne. — Je le sens pas ce type, il n’a pas arrêté de me regarder bizarrement… J’ai bien vu qu’il me jugeait. — Tu te trompes, Maman, ce n’est pas du tout ce que tu crois… Nous avons diné rapidement ce soir-là, et je l’ai entrainée tout de suite après dans le salon. J’étais si pressé que je ne l’ai même pas déshabillée avant de l’allonger sur le canapé, les cuisses écartées. Je me suis contenté de rabattre sa culotte sur le côté, et je l’ai enfilée d’un coup, toutes les lumières allumées. J’ai imaginé que c’était Alexandre qui la saccageait, qui la faisait crier, et j’étais incroyablement excité à l’idée qu’elle subisse ses assauts avec ma bénédiction. Nous allions de plus en plus loin avec Maman, mais faire intervenir une tierce personne dans notre couple était un défi bien diffèrent de tout ce que nous avions expérimenté jusqu’à présent. Comment allait-elle réagir ? Serait-elle d’accord ? Rien n’était moins sûr. Je me suis redressé, perdu dans mes pensées, lui ai fourré ma queue dans la bouche. Elle a, comme à l’accoutumée, avalé docilement les giclées de foutre que j’ai déchargées. Après, nous sommes allés nous coucher dans son lit. Nous n’avons pas beaucoup dormi. Nous avons parlé tard dans la nuit. — J’ose espérer que tu plaisantais hier soir, que tu me faisais marcher ? — Mais ...
... non, j’étais très sérieux au contraire. Nous étions allongés nus et haletant, en sueur, les yeux au plafond. Je venais de lui mettre un petit coup vite fait, histoire de commencer la journée l’esprit libre, les couilles vidées. — Je ne suis pas une pute, Maxime ! Comment oses-tu me demander une chose pareille ? — Je sais que tu n’es pas une pute, Maman… C’est bien pourquoi je n’ai pas l’intention de faire payer mon copain. — Mais enfin, mon cul m’appartient ! Je ne vais quand même pas le donner au premier venu pour te faire plaisir. Tu as une drôle de façon de me prouver que tu m’aimes, tu ne trouves pas ? Quand j’avais abordé le sujet la veille, elle m’avait laissé parler sans réagir, trop fatiguée pour m’affronter, mais le moment de m’expliquer plus en détail était venu. Je jouais gros, je savais qu’il fallait que je trouve les mots justes. — Je serais anéanti si tu me trompais, si tu prenais un amant, mais c’est différent si c’est moi qui décide avec qui, où et quand, tu comprends ? — Explique-moi ce qu’il y a d’excitant là-dedans ? — J’ai envie de te voir faire des cochonneries avec lui, je n’arrive plus à penser à autre chose. — Tu veux me regarder m’envoyer en l’air avec un autre, c’est bien ça ? Mais qu’est-ce qui te prend, bon sang ? Et pourquoi lui ? Tu le connais à peine, ce garçon. — Justement, il n’y a aucun risque. — Tu n’as rien trouvé de mieux qu’un gamin ? — Alexandre n’est plus un enfant, il a mon âge. — Vraiment ? Il a l’air si jeune pourtant. — Je t’assure, ...