L'étalon aiguille (8)
Datte: 24/09/2017,
Catégories:
Transexuels
... reprendrai… Elle se tenait immobile devant moi, ses yeux bleus étaient soudain un peu plus gris que d’habitude. Elle ne portait plus que son soutien-gorge et ses boots à hauts talons, et elle me parut pour la première fois fragile. — Tiffanny — Ne dis rien, Sam, je t’en prie. Elle me fit taire en posant ses lèvres sur les miennes, puis elle me fit pivoter sur moi-même et se colla dans mon dos. Elle se mit à embrasser mon épaule et ma nuque pendant qu’une de ses mains me caressait la poitrine et que l’autre se baladait sur la jupe. Puis sa main gauche abandonna ma peau et elle dégrafa deux nouveaux boutons pressions pour venir caresser la dentelle qui ornait le petit slip bleu. En même temps, les caresses de sa main droite se firent de plus en plus précises à travers la jupe. Ma verge dépassait outrageusement de la culotte satinée. Elle finit par la prendre à pleine main à travers le cuir et à me masturber de plus en plus vigoureusement. Je poussai un soupir plaintif. Sans ralentir les mouvements de sa main, elle se mit à caresser alternativement mes testicules et mon anus de l’autre. — Je t’en prie, Tiff’
... — Cool, Sam, cool
. — Mais je vais pas tenir, là. — Je sais. Mais je veux que tu te laisses aller jusqu’au bout. — Tiff
... — Chut, Sam ! Tu vas jouir dans la doublure, et tu vas la garder cette jupe, je te l’offre. Et comme ça, si d’aventure tu te sens trop seul depuis trop longtemps, tu pourras refaire ça en te souvenant de ce Vendredi après-midi
. Une fois qu’elle ...
... fut arrivée à ses fins, elle resta encore un long moment à tenir ma verge qui dégonflait doucement. Du sperme avait coulé par terre et même une goutte sur le haut des bottes (que j’avais rechaussées après m’être défait de mon pantalon). J’essuyai successivement mon gland, la botte et la doublure de la jupe. Je pris ensuite un autre kleenex pour nettoyer la tache que j’avais faite sur le plancher, puis nous redescendîmes lentement, main dans la main. C’est alors que le téléphone sonna. C’était Philippe. A sa demande, elle brancha le haut-parleur. Il voulait savoir si je pouvais l’attendre avant de partir afin de me dire au-revoir. Je lui dis que ça ne me dérangeait pas, au contraire. Il proposa alors à son épouse de se rendre le soir même à une soirée disco dans une boite de nuit de la région. — C’est une soirée costumée, j’ai pensé qu’on pourrait se la rejouer comme quand on avait fait chez Béa la soirée "seventies", qu’est-ce que tu en dis? — Bon, OK, j’accepte, mais à une condition : je veux bien remettre le même costume, mais je ne me refais pas les couettes, ça c’est hors de question ! — Moi, je te trouvais toute mignonne avec tes couettes
. — Tu parles ! J’avais l’air d’avoir 15 ans ! — C’est bien ce que je disais. — Tu es un immonde salaud. Au fait, qui y va, à cette soirée? — Juste toi et moi, en fait, Jean-Marc avait prévu d’y aller avec sa copine, mais ils ont un empêchement de dernière minute, c’est pourquoi il m’a refilé le tuyau. J’ai pensé que sortir ce soir, ça ...