Ce dont tu as besoin. (2)
Datte: 17/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Je restais là, debout devant lui, les yeux toujours baissés, il fit le tour de moi, je sentis l’un de ses doigts caresser ma joue, descendre vers ma nuque, longer mon dos à travers ma robe et s’arrêtait au bas de mon dos, laissant à peine de quoi sentir la pression de son doigt. Ses deux mains vinrent sur mes hanches, par-dessous la robe, mon cœur battait, j’avais le ventre en feu, il fit glisser ses mains le long de mes fesses, les effleurant, il allait me prendre par le cul, je le savais, je le sentais, il jouait un peu avec son doigt sur le bic, le faisant « vibrer » et puis retirait ses mains. Fit glisser ma robe le long de mes épaules, la faisant tomber au sol. Il repassait devant moi, me regardant surement. - Sors le stylo de ton cul. Je m’exécutais directement, poussant un petit soufflement lorsqu’il sortit. - Maintenant, tu vas le déposer entre tes lèvres, pas dans ta bouche comme une bite, si tu te trompes, tu seras punie. Je le mis parallèle à mes lèvres, j’entendis un « c’est bien » et restait ainsi, mettant mes mains derrière mon dos. Il s’approchait de moi et passait ses doigts sur mon entre jambes, il du sentir que c’était humide, il le caressait un petit moment et puis avec deux doigts me pénétrait, j’avais envie qu’il me prenne, alors que j’avais envie de me laisser aller, je pensais au stylo, et j’étais certaine que je ne devais pas le faire tomber ! Il retirait ses doigts et fit un pas en arrière. - Ramasse ta robe et donne-la moi. Je ramassais ma robe et ...
... la lui tendis, prenant soins de ne pas le regarder. Qu’allait-il faire ? - À présent, tu vas monter sur la table et te mettre à 4 pattes en exposant bien ton cul de trainée. Ni une, ni deux, je pris position, me cambrant exposant mon petit derrière qui avait été offert quelques minutes avant à un stylo. Il vint me bander les yeux. - Tu restes là et ne bouge pas, je vais revenir, si quelqu’un passe et te prend, tu le laisses faire et le remercieras. Et je l’entendis partir, peu à peu jusqu’à ne plus entendre ses pas. Je restais là, les fesses en l’air, le menton contre la table et les mains dans le dos comme il m’avait placée. Une position bien inconfortable ! Je sentais parfois le vent se faufiler entre les arbres, caresser mon corps nu. J’avais « peur », peur d’être prise par un inconnu, par plusieurs… Être vue, mais tout cela m’excitait et il ne revenait pas, après un très long moment d’attente, j’entendis des pas, un mélange de peur et d’excitation se fit encore plus fort en moi. Un doigt passait le long de ma colonne, je savais que c’était lui, je faillis me redresser lorsque je sentis un liquide froid couler sur mon dos, ma tête et mes fesses, je ne bougeais pas, devant le laisser faire. Il retirait mon bandeau et tirait sur la laisse. - Allais salope, à 4 pattes et on rentre. À 4 pattes dans les bois, ou plutôt dans le petit sentier dans les bois, j’imagine qu’il regardait mon petit cul se trémousser ? Le stylo toujours en bouche, on arrivait tout doucement à la voiture, ...