1. Pouvoirs.


    Datte: 17/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Ronan et moi, Gwenaëlle, nous sommes jumeaux et comme tous les jumeaux, nous sommes inséparables. Agés de 20 ans, nous vivons encore chez nos parents à quelques dizaines de kilomètres à l’ouest de Rennes où nous poursuivons nos études en faculté. Notre père est maitre de manège à l’Ecole militaire de Saint Cyr et notre mère passe le plus clair de ses journées à peindre. Elle a un talent certain et commence à être connue. Ils se sont rencontrés à Paris, au Salon du cheval où notre père, alors à la Garde républicaine, participait à une présentation et ma mère, qui était aux Beaux Arts, croquais sur le vif des scènes qu’elle allait peindre ensuite ou faisait des caricatures au fusain. Malgré une dizaine d’années de différence d’âge, ce fut le coup de foudre. Alors que nous avions une douzaine d’années, nous avons quitté Paris et nos parents sont venus s’installer dans une ferme à quelques kilomètres de Guer où nous avons pu facilement abriter les chevaux de la famille. De longues chevauchées occupaient notre temps libre. Nous courrions cette forêt bretonne pleine de légendes qu’est la belle et grande forêt de Paimpont, tantôt seuls, tantôt accompagnés de notre mère qui était devenue une écuyère remarquable. Quand nous étions adolescents, nous nous arrangions pour espionner nos parents lors de leurs étreintes amoureuses. La première fois, nous avions quinze ans, notre attention avait été attirée en pleine nuit par des sortes de gémissements venant du rez de chaussée de la ...
    ... maison. Ronan et moi nous sommes sortis de nos chambres et, depuis la mezzanine, nous avons découvert nos parents en train de baiser sur la table de la salle de séjour. Notre mère, dans la plénitude de ses 40 ans était allongée nue sur la table, les jambes relevées en appui sur les épaules de notre père qui la besognait avec vigueur. Nous n’étions pas ignorants des choses du sexe mais nous n’avions encore jamais vu un couple faire l’amour. Le spectacle nous a particulièrement excités. Je sentais comme une sorte de chaleur dans ma chatte et en me tournant vers mon frère, je vis qu’il caressait sa bite par-dessus son boxer. Sans bruit, nous sommes retournés dans sa chambre où nous avons continué de nous caresser. Pour être à notre aise, nous nous sommes mis nus tous les deux. Ce n’était pas la première fois que je me caressais ainsi, mais là, devant mon frère jumeau, ma jouissance fut encore plus vive. Lui, de son côté, se masturbait également avec vigueur jusqu’à ce qu’une giclée de sperme vienne maculer mes pieds. Discrètement nous avons éclaté de rire puis, tout aussi discrètement, j’ai regagné ma chambre. Après cette nuit mémorable, il nous arrivait encore de surprendre nos parents qui ne se doutaient de rien. Ronan et moi, nous nous retrouvions chaque fois pour des séances de masturbation et de caresses mutuelles. Nous n’avions plus de secrets l’un pour l’autre, nous connaissions le corps de l’autre comme deux amants se connaissent mais jamais il ne m’a pénétrée, tout juste ...
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