1. Bourgeoise remplie au sperme (6)


    Datte: 17/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Les garçons se démenaient comme de beaux diables. Ils niquaient avec une ardeur que je n’avais jamais vue, sans doute à cause de leurs périodes prolongées d’abstinence forcée. Leurs sexes, tous très poilus, disparaissaient dans les chairs blanches de la femme qui, désormais ne cessait d’encourager ses baiseurs. Vint le moment de la première sodomie. - Attends, j’vais y’éclater le trou de balle. Faut qu’ça coulisse. Quelqu’un a de la graisse ? - Ben oui coco... bien sûr ! On est passé au super marché pour t’en acheter. Démerde-toi avec ta salive du con ! - Tu peux aussi prendre la jute qui coule entre ses nibards. Lucas il lui en a foutu une sacrée dose. - Ouais ! T’inquiète... tu me redonnes vingt minutes et j’te la déboite pour lui refaire le plein ! Fanfaronna ledit Lucas. Cependant le gars qui voulait l’enfiler dans le cul trouva la recommandation bonne et frotta sa pine entre le seins pour l’enduire de foutre. Puis il se remit en croupe et força l’anus en arrachant un cri de douleur à la généreuse victime. Ce cri ne fit que surexciter les mâles. L’un d’eux se mit à la biffler abondamment pendant que les autres se montaient des scénarios pour la prendre en double. Lucas s’approcha de moi. - Toi, j’aimerais voir comment que tu lui pisses dessus. Avec ta gueule de p’tit garçon bien sage on dirait un mec qui va arroser sa mère... vous trouvez pas les gars ? Deux ou trois andouilles acquiescèrent à cette idée. Un autre renchérit même - Ouais, j’suis sûr que c’est sa mère ! ...
    ... J’trouve qu’il lui ressemble vachement le p’tit bourge. - C’est ta mère hein ? Hein ? T’aime bien la baiser ta maman ? - C’est pas ma mère, c’est ma proprio. J’avais cessé de me branler. Un colosse, appelé Jacques, s’était approché de moi. - Tu sais qu’tes aussi bien foutu que ta mère ? J’aime bien les BG avec des culs bien rebondis comme le tien... et puis tout blanc. Et il me mit carrément deux doigts dans la raie du cul, cherchant le trou pour les y enfoncer. Je me dégageais. - Et les gars, ça vous dirait quoi si on baiserait le fils après la mère ? - Non, non... c’est pas ma mère et j’fais pas ça avec des mecs moi ! Alors, Marie-Clotilde, qui s’était gentiment tenue a l’écart absorbé qu’elle était à se faire ramoner le cul et à bouffer une grosse paire de roustons, fit ce commentaire. - Ce n’est pas mon fils. Je n’ai pas d"enfants. Mais ça ne m’étonnerait pas que ce soit une petite tarlouze. Je l’ai bien observé. Il se laisse prendre la bite facilement et mate les paquets des autres garçons avec une certaine concupiscence. N’est-ce pas mon petit Jean ? - Mais vous... vous êtes folle... vous êtes dingue de dire des conneries pareilles. Hein Florian ? - C’est vrai Florian ? T’a pas encore mis ton gros zizi dans le p’tit cul du p’tit jeune homme? - Allez, a dit Florian; Foutez-lui la paix. Il s’est rien passé entre lui et moi. - OK, OK, tu nous le ramènes dès que tu l’as dépucelé le marmot, D’accord ? - Oui gamin, tu vois, nous quand on n’a pas de femme, on s’encule pour passer ...
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