1. Séduction cul...inaire


    Datte: 17/03/2020, Catégories: ffh, Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus,

    ... de temps, passons aux choses sérieuses ». Mais j’ai continué ; elle a émis un murmure comme pour m’indiquer qu’en somme, ce n’était pas si désagréable que ça. J’ai continué à la téter, mais ma main est descendue plus bas. Ses jambes étaient parfaitement serrées. De la pointe des doigts, j’ai caressé sa légère fourrure, mon majeur tentant de trouver un bouton bien caché. La friction a dû lui paraître agréable car ses cuisses se sont desserrées. Du bout du doigt, j’ai insisté sur cette minuscule fraise. Le compas de ses jambes s’est un peu plus écarté comme pour m’inviter à continuer, ce que n’ai pas manqué de faire. C’était maintenant un roucoulement que sa bouche laissait échapper. J’ai senti un peu d’humidité sourdre à la source. J’ai glissé un doigt dans le saint des saints. J’ai abandonné le sein que je suçais encore et suis allé téter un endroit plus intéressant. Surprise : j’ai senti ses muscles se contracter légèrement. Mais ma nouvelle approche a dû lui sembler tout de même plus intéressante. Ma langue, mes dents agaçaient son clito, et maintenant c’était deux doigts qui glissaient facilement dans sa vulve ouverte. Soudain, ses jambes se sont refermées sur ma tête alors qu’elle émettait un léger cri. Madame venait de connaître son premier orgasme. J’ai quand même poursuivi ma tâche. Elle était maintenant détendue, puis bientôt à nouveau excitée. C’est elle qui à un instant m’a pris les épaules, les remontant contre son corps. Elle encore qui a mis ma queue en place. ...
    ... Doucement, je me suis laissé descendre dans ce puits d’amour. Lentement, j’ai commencé le balancement ; je sentais son souffle s’accélérer dans mon cou. J’ai précipité la cadence, et soudain ses jambes se sont nouées derrière mes reins et elle a poussé un petit cri. Je me suis immobilisé, bien enfoncé en elle. Après quelques instants, ses jambes m’ont libéré, ses bras se sont écartés ; elle était parfaitement détendue. Mais moi, j’étais resté sur ma faim. — Oh, François, c’est extraordinaire : je viens de jouir pour la première fois de ma vie ! Tu es un type formidable, merveilleux. Tu avais raison, je ne suis pas frigide. Et toi, tu as eu du plaisir ?— Eh bien, à vrai dire, non. J’ai cherché à te contenter toi d’abord. Mademoiselle, si elle n’était pas pucelle, n’était jamais montée au ciel. Et moi, comme un con, je venais de lui révéler le plaisir. Voilà comment notre relation a débuté. —ooOoo— Ce soir, dès l’entrée, je sens que le temps est à l’orage. Elle est là, prête à sortir, mais avec sa tête des mauvais jours. — Tu es allé encore boire un verre avec tes copains pour ne pas préparer le dîner. Tu l’as fait exprès ; ce n’est pas un boulot d’homme ?— Mais non, chérie : j’ai dû remonter une bécane, et ça m’a demandé deux heures.— Tu racontes toujours la même histoire, j’en ai marre ! J’ai appelé Norbert ; nous allons au restaurant.— Mais je ne suis pas prêt !— Tu n’es pas invité. C’est une soirée avec lui. Je ne sais pas à quelle heure je rentrerai. Un coup de sonnette à la ...
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