Début de la vie commune avec Aline - Histoires de Sexe

Début de la vie commune avec Aline

... ce genre de vêtements ne lui irait jamais. J’allais protester quand la vendeuse me fit un clin d’œil tout en disant à Aline: — Oh non ! Ça ne vous va pas du tout, c’est affreux, retirez-moi ça tout de suite ! Et elle lui passa une robe que j’avais aperçue en vitrine et qui m’avait bien plu. Aline rentra de nouveau dans la cabine pendant que la vendeuse me disait avec un sourire et tout doucement : — Si je lui avais montré ce modèle en premier, comme elle n’a pas confiance en elle, elle l’aurait rejeté. En lui en montrant un qui ne lui allait pas, je lui ai permis de suivre son premier instinct de refus, celui-là, elle va l’adorer. Et de fait, quand elle ressortit, bien qu’elle essayât de le cacher, je vis bien qu’Aline avait le sourire. La vendeuse et moi avons eu la même réaction : — Tu es splendide !— Tu vois, tu avais tort de ne pas vouloir mettre de robe, ça te va très bien et si tu regardes ton ami, les yeux qu’il te fait ! Il est évident que tu lui plais. Bien que manifestement séduite, Aline semblait encore hésitante. — Tu crois ? Je venais de constater quelque chose, Aline et la vendeuse qui s’appelait Patricia venait de se tutoyer presque sans s’en rendre compte. La vendeuse se tourna vers moi : — Et toi qu’en penses-tu ? Et avant que j’ai eu le temps de répondre : Ça te plaît, c’est évident ! Il faut dire que Patricia avait le compas dans l’œil, la robe lui descendait juste au-dessus des genoux. Elle avait un petit décolleté en carré qu’Aline avait essayé de ...

... remonter le plus possible. — Remets-moi ça en place. Tu as une poitrine superbe, ne la cache pas. Crois-moi, j’aimerais avoir une poitrine comme la tienne. Moi j’ai des seins tout petits et je donnerais tout pour avoir les tiens. Et joignant le geste à la parole, elle fit redescendre le décolleté, dévoilant légèrement, la naissance de ses seins. — C’est vrai que j’aime bien en fin de compte. Aline souriait et me regarda un peu inquiète : — Tu trouves que ça me va bien ? Je ne pus que le lui répéter d’une voix un peu rauque ce qui les fit bien rire toutes les deux : — Tu es superbe ma chérie et ça te va super bien. Tu aurais tort de ne pas la prendre. Mais on fait comme tu veux.— Je vais la prendre si ça te plaît tant que ça. Puis se tournant en rougissant vers la vendeuse, tu veux bien m’amener une jupe et un tee-shirt un peu plus décolleté que celui là. Après tout, si ce petit vicieux veut que je montre mes seins, eh bien je vais les montrer, tant pis pour lui. Je la reconnaissais bien là. Comme moi, elle était parfois longue à se décider mais quand elle prenait sa décision, elle allait jusqu’au bout. Quand, quelques instants plus tard, elle ressortit de la cabine, je fus époustouflé. Une mini-jupe qui lui arrivait à mi-cuisse dévoilant ses jambes superbes, un décolleté en pointe vertigineux, assorti d’un soutien-gorge adapté que Patricia avait amené en même temps, dévoilait la courbe de ses seins. Je la trouvais très belle. — Je vais faire bien des jaloux quand on se promènera en ...