1. J’ai fait la pute sur l’autoroute


    Datte: 18/03/2020, Catégories: Première fois Anal Masturbation

    ... ?Son copain dit aussitôt : — Mario, t’es con, elle est en panne, c’est pas une pute !Moi, penaude… : — Oui, mon module de clés est HS et donc je suis coincée dehors…Mario rigola : — Alors tu nous sucerais pour une pile neuve ? Dommage on en a pas là. — Emmenez-moi à la première station. — D’accord, mais tu nous suces avant ! dit Mario sur un air sérieux. — Sûrement pas, barrez-vous bande d’obsédés !La voiture repartit, les gars rigolaient.L’horloge tournant, il devait être gentiment six heures et demie passées, et aucune autre voiture ne s’est arrêtée. En plus d’êtres rares, elles roulaient vite. Le froid et même le début de nuit commençaient à tomber.Je me suis dit : Ma vieille, le prochain tu le suces et t’en fais pas toute une histoire…Une dizaine de minutes après, un petit camion s’est arrêté plus loin, puis a reculé. Je suis montée sur le marchepied, la vitre était ouverte. L’homme à l’intérieur devait avoir à peine trente ans, il avait les cheveux rasés, un piercing au nez et des boucles d’oreilles ; il ne me plaisait pas.Je lui dis : — Monsieur, je suis… — Combien vous prenez, Madame ?Il était poli, je n’aurais pas pensé ça en voyant son look. Je me précipitai de répondre : — Si tu m’emmènes à la prochaine station-service, je te suce. — Et tu reviens à pied ? Si je te ramène ici après, je pourrais te baiser ?J’avais un peu honte de ce que j’avais proposé, mais il me proposait ce que je n’avais pas envisagé – le retour de la station ! Certes, oui, avec une pile neuve, ...
    ... mais combien de kilomètres à pieds en talons aiguilles et jupe, dans la nuit et le froid…Je lui répondis par un signe de la tête, mes mots restaient au fond de ma gorge. Il me dit : — C’est d’accord, on fait l’aller et retour.Je montai dans le camion. Il m’a fait la conversation, j’essayais de l’amadouer en lui racontant ma journée, ma mésaventure des clés, mais il m’a dit qu’on avait un accord, alors je me suis résignée. On a bien fait quinze bornes avant de trouver une station. J’achetai une petite pile ronde et plate pour ma clé électronique, et pris des capotes. J’étais un peu honteuse devant la jeune caissière. Ça m’a coûté vingt-cinq euros.Je retournai au camion, il m’attendait et je savais que je n’y échapperais pas. La route du retour s’est faite en silence, cette fois la nuit tombait vraiment.À peine avait-il arrêté le camion qu’il s’est rapproché de moi : — Commence par me montrer tes nichons !Ça y est j’y étais, et sa politesse avait disparu. Je dégrafai deux boutons en dessous du décolleté, laissant mon top rouge s’ouvrir sur mon soutien-gorge noir… Ce n’était pas gros, et pour cause (!) – mais ça semblait lui suffire. — Montre-moi ta culotte maintenant !Je relevai ma jupe, dévoilant mon string noir… Je n’osais pas écarter les cuisses, craignant qu’il ne démasque la supercherie. — Eh bah, putain, t’es timide toi, j’vais t’la bouffer ta chatte.Mon Dieu… Que va-t-il se passer, comment va-t-il réagir en découvrant que je ne suis pas une « vraie » femme, un travesti ...
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