1. J'ai sauvé mon couple en trompant mon mari !


    Datte: 19/03/2020, Catégories: fh, hbi, couple, extracon, cocus, inconnu, jardin, hsoumis, fdomine, vengeance, jalousie, Oral fsodo, init,

    ... sommes baladés un peu pour nous retrouver finalement sur une balancelle, tout ce qu’il y a de plus romantique au milieu du jardin. Malin, il avait dans sa main qui ne me tenait pas la hanche une bouteille de vin et deux verres… Je n’avais même rien vu. Et j’ai accepté de reboire… Les choses étaient tellement floues et emmêlées dans ma tête que, alors qu’il espérait certainement autre chose, j’ai complètement craqué. Je me suis mise à pleurer et à lui raconter tout ce que j’avais sur le cœur. Le vrai, le faux, les faits, mes angoisses et ce que je m’imaginais… Dans mon état tout ne devait pas être très clair, mais il a dû comprendre l’essentiel. Et, contrairement à ce que je me serais imaginé, il ne s’est pas du tout enfui. Au contraire. Il m’a écoutée, et nous avons parlé longtemps, longtemps… Il est reparti chercher des bouteilles à plusieurs reprises, mais je ne saurais pas dire combien… Bien sûr, j’étais blottie contre lui pendant nos discussions, et ses mains commençaient à se faire plus baladeuses que je n’aurais dû le laisser faire. Mais, de sentir sa chaleur, de pouvoir lui parler, de pouvoir vider mon sac sans jamais qu’il me contredise… J’aimais ça. La discussion a bien entendu dérivé sur le sexe. Il a adoré quand je lui ai dit que je faisais ça « par derrière » pour éviter de prendre la pilule. Il m’a fait sentir son érection à travers son pantalon à plusieurs reprises. Je me laissais faire, me laissais aller. Sans savoir l’heure qu’il était, le temps passait. Au ...
    ... petit matin, alors que le jour commençait à poindre, nous étions tous les deux aussi épuisés et vaseux l’un que l’autre. Soit par faiblesse, soit par impatience, soit à cause de l’alcool, il a commencé à sortir son sexe en me disant qu’il bandait depuis bien trop longtemps pour le laisser encore enfermé. Nous continuions à discuter pendant que je le branlais doucement. Il m’a doucement suggéré de la main sur ma tête de le sucer. J’ai refusé, d’autant que j’aurais certainement vomi si je l’avais tenté. Et j’ai commencé à lui dire que nous ne pouvions pas faire plus, que j’avais déjà fait bien trop de choses, que ce n’était pas bien… Il a alors changé d’approche. Il a commencé à me dire que c’est une juste vengeance, que tant que je ne serais pas allée jusqu’au bout, ça n’irait pas, que de toute façon mon mari fantasme d’être cocu. J’ai fini par lui dire qu’il avait raison. Sans perdre de temps, il s’est levé et m’a guidée pour me mettre à quatre pattes, genoux par terre et poitrine collée contre l’assise de la balancelle. Je ne savais pas trop ce que je faisais, mais je me laissai faire lorsqu’il commença à me lécher l’anus. Il avait simplement relevé ma jupe et baissé un peu ma culotte. Je laissais mon cerveau flotter dans un monde fictif pendant que mes fesses se détendaient sous l’action de sa langue et de ses doigts. J’étais proche de l’endormissement quand son gland vint se placer à l’entrée préparée. Il entra doucement, lentement mais sûrement. Il ressortait de temps en ...
«12...456...12»