1. J'ai sauvé mon couple en trompant mon mari !


    Datte: 19/03/2020, Catégories: fh, hbi, couple, extracon, cocus, inconnu, jardin, hsoumis, fdomine, vengeance, jalousie, Oral fsodo, init,

    ... tête bloquée contre le mur, j’ai poussé mon bassin contre son visage. J’ai senti sa langue commencer à jouer avec mon sexe. J’étais cambrée au maximum pour qu’il puisse atteindre mon clitoris. Je sentais son nez appuyer sur le bouchon. Il me léchait profondément et je sentais même sa langue remonter de temps en temps jusqu’au bord de mon anus. Je n’arrivais pas à savoir si le fait qu’il fasse ce que je demandais m’excitait ou m’énervait. J’ai décidé de « pousser le bouchon trop loin », en enlevant le bouchon justement. Ce que je n’avais pas prévu, c’est que j’étais réellement pleine et que, dès le bouchon enlevé, j’ai senti que j’allais me vider sans rien contrôler… Par pur réflexe, j’ai collé mon anus contre sa bouche. Je sentais que la situation était compliquée pour Thierry aussi, et qu’il ne savait pas trop s’il devait aller aussi loin. Mais, sans que je comprenne pourquoi, je me suis mise à jouir doucement à mesure que mon fondement se vidait dans sa bouche. — Lèche ! J’ai senti sa langue commencer à remuer contre et dans mon anus. Déjà en temps normal, je trouve cette pratique un peu sale ; mais je l’ai laissé faire car, après tout, ce n’était pas désagréable pour moi. Mais là, la situation était bien au-delà de n’importe quel fantasme que j’ai pu avoir. Je me suis appuyée sur le mur en face, les fesses complètement en arrière, et je me suis laissée aller complètement. J’avais l’impression que Thierry roulait une pelle des plus baveuses, sauf que c’était avec mon cul ...
    ... et le sperme de mon amant pour salive… Je me suis caressé le clitoris jusqu’à la jouissance… Une fois cet instant passé, toute la fatigue et le sommeil ont choisi de me tomber dessus. Sans un mot, le string toujours baissé, la jupe à moitié relevée, je me suis dirigée vers la chambre. Cette andouille avait le sexe à l’air : il s’était branlé pendant qu’il me léchait le cul ! Je ne savais pas s’il avait joui, et n’étais pas en état de m’en préoccuper. Je me suis affalée sur le lit sans même me déshabiller. Il est arrivé, le sexe raide, et m’a demandé s’il pouvait me faire l’amour. Il n’avait pas joui, donc. — Tant que tu ne me demandes pas de bouger, fais ce que tu veux ! Je me suis endormie pendant que je sentais son sexe entrer en moi sans difficulté. « ’tain, t’es une sacrée salope, en fait… » « T’es vraiment une chienne de rentrer pleine à la maison ! » « T’es contente ? Tu t’es bien vengée. » « Putain, il est tout gluant, ton cul ; c’est trop booonnnn… » J’ai vaguement entendu ces phrases et j’ai senti, à la force de son bassin, qu’il se vidait à son tour en moi. Il s’est retiré et j’ai senti mon cul rester ouvert et les semences mélangées s’écouler doucement contre ma cuisse. Il est parti se doucher, me croyant certainement endormie. À son retour, sans ouvrir les yeux, j’ai murmuré : — Tu t’es lavé, mais moi je suis à nouveau sale. Alors nettoie-moi. Je m’attendais à ce qu’il aille chercher une serviette ou quelque chose ; mais non, il s’est docilement agenouillé sur le ...
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