1. Zoé ma voisine - 2


    Datte: 19/03/2020, Catégories: fh, hplusag, voisins, fsoumise, Oral pénétratio, fsodo,

    ... m’embrasses pas et que tu évites de me toucher participe à l’excitation du scénario, c’est moi qui l’ai provoqué et je ne peux en vouloir qu’à moi-même, et je ne regrette pas les deux fois où on y a joué. Je regrette juste que quand tu m’as demandé quel serait mon fantasme, de ne pas t’avoir répondu que c’était de baiser avec mon voisin, celui qui me mate l’entrejambe en bavant. Ne fais pas l’innocent, je sais depuis le début que je suis à ton goût, et que tu te conduis en parfait gentleman, mais la première fois où je suis venue courir avec toi, malgré les efforts que tu as fait, tu m’as fait penser au loup de Tex Avery avec ta façon de regarder entre mes cuisses, et quand on a marché vers le parc, j’ai senti que ma culotte était mouillée, et pareil encore ce matin. Voilà, je vais venir sur tes genoux et si tu ne me repousses pas, on va s’embrasser comme j’en ai envie. Elle s’installe sur mes genoux et il est évident que je n’ai aucune envie de la repousser. Elle doit retrousser un peu sa robe pour s’asseoir face à moi, je pose les mains sur ses cuisses fermes et douces, elle saisit mon visage entre ses mains et pose ses lèvres sur les miennes. C’est un baiser très tendre, nos langues s’effleurent, se cherchent, se trouvent, s’enroulent doucement l’une autour de l’autre, la mienne envahit sa bouche qui l’accueille, je l’explore, elle se laisse faire un moment puis elle passe à la contre-attaque, vient à son tour dans ma bouche, m’envahit sans trouver de résistance, je suce ...
    ... sa langue, je quémande sa salive, elle m’en donne, je la savoure, j’aime le goût de sa bouche, son haleine, tout d’elle. Mes mains sont toujours sur ses cuisses, elle déboutonne ma chemise, pose ses mains sur mon torse et vient blottir son visage dans mon cou. Elle me murmure qu’elle avait envie de ça, ma peau sous ses mains, nos peaux l’une contre l’autre. Je saisis ses seins à travers le tissu de sa robe, je sens les tétons durcis sous mes paumes, j’ai l’impression qu’elle n’a pas remis son soutien-gorge, je fais doucement tressauter les globes fermes avec les mains, je les presse sans appuyer, elle a l’air d’aimer ça, elle m’embrasse dans le cou, me suce un lobe d’oreille et revient m’offrir sa bouche. Tout en l’embrassant, je glisse une main sous sa robe entre ses cuisses, avide de savoir si le minuscule bout de tissu que j’ai fait glisser le long de ses hanches tout à l’heure s’est à nouveau inséré dans sa fente. Mais quand j’atteins mon but, j’ai la surprise de ne pas toucher de tissu, mais de la chair chaude et humide, des poils doux et ras, mes doigts glissent sans résistance dans sa faille déjà trempée, j’y découvre tout en haut son clitoris gonflé et durci, elle vient me demander à l’oreille si je n’aurais pas préféré qu’elle soit épilée et ce que j’imaginais quand je paraissais hypnotisé par son entrejambe. Je lui réponds de la même façon en chuchotant que son sexe me faisait penser à un abricot quand il était moulé dans son collant de jogging, que j’espérais qu’il ...
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