1. Les mecs et le naturisme


    Datte: 19/03/2020, Catégories: fh, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fsodo, amourdura,

    ... vraiment très désirable.— Je suis mettable, c’est ça que tu penses. Mais tu regardes aussi les autres filles, comme cette jeune mère de famille à droite avec son mari et son fils, c’est vrai qu’elle a de magnifiques formes, une belle poitrine ample, des nichons bien plus volumineux que les miens. Et puis à notre gauche, ces deux jeunes filles, c’est vrai qu’elles ont un cul d’enfer… et en plus le sexe épilé ; on voit tout. Ou encore cette autre… sauf que là elle est avec ses parents, un peu au-dessus sur la plage et pour toi ce serait un détournement de mineure… selon moi, elle n’a même pas seize ans.— Arrête, tu ne fais qu’augmenter mon excitation.— Oui, tu n’es vraiment pas fait pour le naturisme. Là, tu joues les voyeurs et tu t’y complais. Si j’étais à ta place je me sentirais très gênée, non pas de bander, mais de garder mon slip alors que tout le monde est à poil. Mais as-tu remarqué, personne ne vient nous voir pour te demander de te déshabiller ou de déguerpir. Après cette expérience désastreuse, je mis un terme aux relations (très sages puisque je n’ai jamais couché avec lui) que j’avais avec Thierry. Un peu plus tard je rencontrai un autre garçon qui se nommait Benoît. Il n’a pas mis beaucoup de formes pour que je cède à ses avances. Lorsque je me suis retrouvée chez lui, il me prit dans ses bras et m’embrassa fougueusement. Ce baiser étant très agréable, je ne le repoussai pas. Alors il souleva ma robe pour faufiler ses mains sur mon slip. Je me rebiffai, mais ses ...
    ... mouvements étaient habiles et sans appel. Je tentai de résister, mais il éteignit mes protestations en m’embrassant à nouveau et en me pressant contre lui. Puis il libéra mes seins, arrachant plus le haut de ma robe et mon soutien-gorge qu’il ne me les enleva. Il me caressa les seins, je résistai encore, mais je dus avouer que ces attouchements étaient très agréables. Mes mouvements étaient de moins en moins vigoureux. Il prenait littéralement possession de moi, avec une main dans mon entrejambe, qu’il avait libéré de ma culotte et l’autre sur ma poitrine. Je poussai un cri lorsqu’il s’empara de mon clitoris : la pression était presque douloureuse, mais aussi extrêmement jouissive. Alors j’abaissai les armes et me laissai aller entre ses bras. Il réussit à me faire jouir sans même me pénétrer autrement qu’avec sa langue entre mes lèvres intimes. J’étais à demi dénudée sur le lit où il m’avait couchée. Il m’avait quasiment violée et pourtant je ne lui en voulais absolument pas. Je lui dis même : — Déshabille-moi. Il le fit avec une infinie douceur. Je fus alors totalement nue devant lui, qui avait gardé ses habits. Je me laissais voir, admirer. Il détaillait chaque parcelle de mon corps. Mais je voulais profiter également de son corps d’homme : — Déshabille-toi. Il semblait n’attendre que ça, avec presque une trop grande rapidité il quitta tous ses vêtements. Il était vraiment bien gaulé : un corps musculeux et ferme, des fesses biens modelées et un sexe de belles dimensions ...
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