Que vais-je choisir de faire ?
Datte: 24/09/2017,
Catégories:
fh,
ff,
campagne,
ascenseur,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
fgode,
légumes,
pénétratio,
fdanus,
jeu,
aliments,
ecriv_f,
Anne semblait ravie de nos découvertes, elle posa sa main sur ma jambe. Je trouvais personnellement que nous avions été très loin et très vite. Tout se bousculait encore dans ma tête. Anne percevait mon trouble. — Tu sais, je crois simplement que grâce à tout ça, je vois ma vie sous un autre angle.— Moi je me demande si je ne suis pas devenue folle.— C’est vrai, ça va vite, mais dans un sens, tout cela m’a fait un bien fou.— Explique !— Eh bien, avec Jean, je ne peux pas dire que j’étais malheureuse sexuellement, il était vraiment très attentif à mon plaisir, très doux. Il savait que je n’avais pas beaucoup d’expérience et il m’a persuadée de me relâcher pour profiter plus pleinement de nos rapports.— Oui, je vois, et apparemment, ça a été très efficace, tu fais tout ça tellement naturellement.— Et en plus j’en profite, je t’avoue que j’ai adoré ça. Pas toi ?— Je ne sais plus trop, je crois que je me sens honteuse.— Je te comprends, surtout après ce que nous avons fait sous la tonnelle…— Oui, enfin, non, pas seulement… C’est simplement que j’ai parfois l’impression de ne plus être dans ma propre peau, comme si j’assistais à mes ébats. Et du coup, je me laisse aller à faire des choses que je n’aurais pas faites en temps normal.— Tu sais, je crois que c’est pour ça que tu aimes être soumise à Marjorie, elle t’ordonnait de faire ce que tu voulais mais que tu n’acceptais pas de faire de ton propre chef. Quand elle te disait de faire ceci ou cela, tu n’hésitais pas et je pense ...
... que c’est le signe que tu aimes te livrer.— Me livrer ?— Oui, te livrer, être un objet de désir et qui plus est, un objet de désir très très appétissant…— Tu veux dire que je suis perverse ?— En quelque sorte, oui un peu, tout comme moi, sinon nous n’aurions même jamais couché ensemble. Tous ces jeux de séduction auxquels nous nous sommes livrées.— Oui, mais je n’étais pas attirée seulement par le sexe, mais surtout par toi !— Moi aussi, Fabienne, j’étais et je reste attirée par toi, tu me plais, j’aime être avec toi, j’aime te faire l’amour. Et aussi, j’aime baiser avec toi, sans retenue, sans tabous.— Et moi qui te croyais prude !— Je l’étais peut-être… Tu sais ce qui m’a longtemps complexée, c’est que je suis une femme fontaine.— Mais c’est une chance !— Oui, maintenant j’en suis consciente, mais avant que Jean m’en persuade, j’étais plutôt prête à penser que c’était assez sale et gênant. Quand je me masturbais, les premières fois, je croyais que j’urinais, en discutant avec des copines de lycée j’ai appris que seules certaines femmes jouissent de cette façon. Ça m’a rassuré un peu, même si j’étais un peu particulière, ça n’était pas horrible non plus. Et tu sais, ça complique un peu mes ébats… Je jouis tellement facilement que parfois j’en mets partout.— Oui, je comprends ça aussi.— Jean m’a vraiment appris à aimer ça, il m’a convaincue de me laisser faire et me donnait des orgasmes en me doigtant ou en me léchant. J’étais encore un peu honteuse mais c’était tellement bon ...