1. Warda et Julie, salopes du lycée chapitre 3


    Datte: 20/03/2020, Catégories: Anal Hardcore, Partouze / Groupe

    ... rafraichi de la salle me faire frissonner les fesses et le sexe. Lorsqu’il atteint mes pieds avec ses jambes, je lève l’une puis l’autre pour le laisser faire passer mes vêtements, que je l’entends poser à côté de moi, sur les siens.Ne faisant aucun mouvement, confortablement installée la tête sur mes bras, j’attends ses actions avec impatience. Je sens un premier contact sur ma vulve qui me fait frémir. Je reconnais du simple toucher ce qui vient de m’effleurer : une paire de doigts.- Sans préliminaire. J’ai suffisamment attendu comme ça. De toutes façons, je suis déjà trempée.Il retire ses doigts, et agrippe mes hanches avec ses mains pour se caler. Et fort avec ça, la pression de ses doigts sur mes reins est presque douloureuse. Je sens un gland se poser contre mes lèvres vaginales, s’arrêtant aux portes de mon corps.- Vous attendez quoi encore ? Baisez-moi !- J’ai un doute… Tu t’es comportée comme un sac à foutre avec les étudiants… Mais tu ne m’as même pas proposée une capote.Il était vrai que dans l’excitation, j’étais venu sans rien cette fois-ci. Mais d’ordinaire, Warda et moi prenons notre sécurité bien plus au sérieux – bien que je finisse souvent par retirer la capote pour avaler -- J’ai oublié cette fois, mais d’habitude je suis protégée, pas de problème. J’ajoute avec un sourire : vous n’étiez pas aussi prudent avec Warda !- J’ai quand même un doute…Mon impatience poussée à bout, je hausse le ton, toujours sans me retourner :- Vous comptez vous priver de moi ...
    ... pour un détail que vous aviez carrément zappé avec Warda ? Vous avez mon OUUUH…Il était rentré d’un coup, tirant mon corps vers lui avec ses mains en même temps que le sien s’était lancé en avant. Sa verge, aidée par ma cyprine qui coulait depuis le début, était rentré aux trois quarts d’un seul mouvement.Elle se met à remuer, faisant des aller-retours dans mon intimité, lentement mais profondément. Je ferme les yeux, savourant chaque seconde de cet instant : monsieur Ferrand me baise, parce que je lui en ai donné l’ordre. Le plaisir de sa soumission accentue celui de la pénétration. Lui par contre n’hésite pas à commenter son action :- Ta chatte est sacrément large pour ton âge, Julie… Tu dois être une vraie salope !- Oh ouiii… Je suis une salope… Une jeune salope…Ma voix est montée en fréquence, on pourrait croire entendre une enfant à présent. Mais je suis pleinement heureuse en l’instant. Un homme qui me plait est en mon pouvoir, et il me traite de salope. A part la présence de l’élue de mon cœur, que pourrais-je demander de plus ?Il cesse son mouvement, rapprochant ses mains de lui pour m’agripper directement le bord des fesses. Il se retire alors complétement, aboyant d’un ton grave :- Voilà pour toi, salope !Et il rerentre brutalement dans mon sexe, me faisant pousser un soupir de plaisir. Il recommence son mouvement, mais en plus ample, ressortant et repénétrant mon sexe à chaque va-et-vient, m’arrachant un petit « ouh » de bonheur par la même occasion à chaque entrée.- ...
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