1. Madeleine et l'ivresse des sens


    Datte: 20/03/2020, Catégories: f, fh, fépilée, plage, fête, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation pénétratio, lieuxpubl,

    ... indécente. C’est alors que deux mains viennent jouer avec ses seins. Elles pincent les tétons déjà bien excités par le contact du tissu. Et l’orgasme monte par surprise. Madeleine est submergée et ne peut contenir un léger râle, heureusement inaudible dans le brouhaha de la fête. La mystérieuse femme glisse alors une carte de visite dans le décolleté de Madeleine, en profitant au passage pour caresser encore une fois cette poitrine si tentante. — Je m’appelle Salma. Tu trouveras mon numéro de portable sur la carte de visite que je viens de glisser dans ton délicieux décolleté. Appelle-moi. Cela me ferait plaisir de mieux faire ta connaissance. À bientôt et bonne soirée ! Salma embrasse délicatement Madeleine dans la nuque et disparaît. Madeleine flotte, heureuse de ces minutes de plaisir. Elle ne sait pas que la soirée ne fait que de débuter. J’ai été l’observateur privilégié de ce moment hors du commun ! En partant, mon amie Salma m’a fait un clin d’œil. Nous sommes amants et complices de longue date, travaillant dans le même bureau. Toutefois j’ignorais qu’elle était au village ce soir. Quelle douce surprise ! Mais elle est déjà happée par la foule. Reste devant moi, à quelques mètres, Madeleine, reprenant lentement ses esprits. J’ai fait sa connaissance il y a déjà quelque temps. Nous fréquentions les mêmes séances d’organisation politique de nos villages voisins. Nous n’avions jamais eu l’occasion de discuter en tête-à-tête. Mais, je me rappelle encore cette séance où ...
    ... elle m’avait regardé, longuement, toute la soirée. Et elle m’avait troublé. Elle me plaisait et, à chaque fois que je la voyais, j’avais de plus en plus envie d’elle, envie de mieux la connaître, de découvrir ses plaisirs, ses fantasmes. Alors je franchis les quelques mètres qui nous séparent, pour venir m’asseoir en face d’elle. Nous échangeons quelques banalités et parlons de cette belle et chaude nuit. Puis soudainement et sans préambule, je lui lâche : — Vous avez plu à Salma, je crois, ce soir. Et je lui fais confiance, elle a bon goût. Madeleine a rosi. Je lui explique mon amitié de longue date avec la belle Salma. Sans détail, mais sans équivoque, je lui relate nos aventures, nos délires. Sans franchement lui laisser le temps de réagir, je continue en lui proposant : — Cette chaleur est presque étouffante. Vous aimeriez vous rafraîchir par une baignade ? Nous avons la chance extraordinaire de vivre au bord d’un grand lac, nous offrant ses eaux délicieuses pour nous apaiser des chaleurs estivales. Sans hésiter, Madeleine accepte. Nous nous dirigeons vers une petite plage herbeuse, à l’écart du bruit de la fête. Madeleine ôte ses souliers pour marcher dans l’herbe, puis arrivant proche de la rive, elle déboutonne le peu de boutons qui restent attachés et fait glisser sa robe à ses pieds. Elle est maintenant nue devant moi, splendide et très désirable. Qu’elle est belle ! J’aime ses courbes, ses formes. Moi qui rêve d’un modèle photographique de nu… Je lui demanderai un jour ...