1. La première fille - Chapitre III


    Datte: 20/03/2020, Catégories: fh, jeunes, parking, Oral

    ... l’irréversible se produire, il parvient à articuler un à peine audible "ça vient" de politesse, qui provoque un léger recul de Céline, en même temps que sa branlette gagne en vigueur et en intensité. Stéphane se lâche alors complètement et expulse dans le chaos le plus total quelques millilitres de sperme qui finissent leur course, au gré des mouvements saccadés de Céline, sur sa chemise, sur le siège, sur la portière et sur sa bienfaitrice branleuse, qui n’avait pas pris soin de se mettre assez à l’abri, ce qui cependant n’était guère facile étant donné l’exiguïté du lieu. Son forfait accompli, Céline se saisit d’un paquet de mouchoirs pour réparer les dégâts dont elle est, il faut bien l’avouer, la principale instigatrice, et en tend un à son partenaire de jeu qui se remet à peine de toutes ses émotions. Puis, après un bref nettoyage des lieux, Stéphane met le moteur en route et met le cap vers chez Céline, pour une nuit qu’il pressent inoubliable… De son côté, Vincent continue sa causette un bon moment, avant de décider, d’un commun accord avec Marie, de rentrer, tandis que Stéphanie et son copain n’ont pas d’autre choix que de rester un peu plus longtemps, étant donné qu’ils attendent toujours la réapparition de Virginie qu’ils doivent ramener, et qui au vu de la mine renfrognée de Stéphanie, risque de se prendre un bon soufflon. — Au fait, demande Marie à Vincent, et Frédéric, il va rentrer comment? Il faut peut-être que je le ramène ?— Non non, il va se débrouiller. Il ...
    ... habite pas trop loin, il pourra rentrer à pied. Ça sera pas la première fois qu’il rentre à pied, il a l’habitude, surtout qu’il connaît du monde, à mon avis, il trouvera à se faire ramener si vraiment il a la flemme. Sur ce, Vincent se dépêche de plier bagages, dès fois que Frédéric ressurgirait et voudrait se faire ramener par Marie, dont il ne veut partager la voiture avec personne. Pourtant, le trajet est vite accompli et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il se retrouve au bas de son immeuble. — Bon, merci beaucoup de m’avoir ramené, ça m’a évité une bonne demi-heure de marche. Et merci pour la compagnie, c’était… très agréable. Puis, tout penaud d’avoir osé faire un compliment à une fille, Vincent détache sa ceinture de sécurité et ouvre la portière, sans un simple coup d’œil pour la conductrice dont il n’ose affronter le regard. — Au r’voir, parvient-il à murmurer de façon à peine audible.— Hé ! T’échappe pas ! Moi quand je dis au revoir à quelqu’un que je connais, je lui fais la bise, pas toi ?— Ah, euh… oui, moi aussi, désolé, bafouille-t-il en s’approchant d’elle et en l’embrassant (trop chastement à son goût) sur chacune de ses joues.— En plus, il faut que tu me laisses ton numéro de téléphone, tu m’as promis un concert privé, j’espère que c’était pas des paroles en l’air.— Bien sûr que non, tu passes quand tu veux, mais je te préviens je joue juste comme ça pour le fun. Mais tu peux monter maintenant, pour avoir juste un aperçu ! tente Vincent comme ...
«12...5678»