1. kary-25


    Datte: 21/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... rythmés avec le massage sadique de mes fesses. Je sentais le corps de ma tortionnaire se presser contre moi. Je sentais cette chaleur m’envelopper. Ma vulve était aussi humide que ma bouche et mon corps ondulait dans un ballet sensuel, quoique rythmé et saccadé. Les larmes coulaient sur mes joues. La douleur disait à mon corps que tout devait s’arrêter, mais mon esprit, cette petite voix masochisme, en redemandait encore. Je souffrais, mais j’étais bien. Lorsque Madame a eu finit de tester et de s’amuser avec son nouveau jouet elle m’a fait faire de petits exercices d’obéissance du genre aux pieds, va chercher la balle, à genoux, saute sur place etc… J’avais l’air d’une vraie chienne savante. J’exécutais toutes ses commandes avec soins. J’étais fière qu’elle me possède dans tous les sens du terme et d’être son objet de plaisir. C’est incompréhensible pour moi, mais dans cette condition de devoir obéir, de servir, de n’être qu’un jouet appartenant à une personne qui peut disposer d’elle comme bon lui semble, je me sens tellement bien. À partir de cette rencontre avec Maitresse Amanda, Madame s’est mise à changer. Elle est devenue plus stricte et exigeante. Ce qui m’a semblé être un jeu excitant au début de notre relation est devenu un mode de vie. Karine s’est effacée tout doucement. À part sur mon lieu de travail j’étais à présent toujours kary. Les passages à mon condo se sont faits de plus en plus rare avec le temps. Tous mes uniformes de travail étaient chez Madame à ...
    ... présent et c’est Carole la femme de ménage de Madame qui faisait mon lavage. Madame a continué à voir Maitresse Amanda et son soumis afin de prendre de l’assurance dans son rôle de Maitresse et de connaitre ses besoins afin de pouvoir m’utiliser pour sa convenance. À chaque semaine je devais faire des exercices d’obéissance et je devais apprendre à obéir à Madame sans qu’elle n’ait besoin de dire un mot. Pour cadeau des fêtes elle m’a offert un bijou. Je me souviens très bien du jour où nous sommes allez le chercher. C’était un vendredi de décembre juste avant Noel. Après mon petit déjeuner, à quatre pattes sur le plancher de la cuisine bien entendu et sous les regards de Madame, Sylvie et Carole, Madame a ordonné à ses deux domestiques de me passer les bracelets de cuire aux poignets et aux chevilles. Puis Madame m’a ordonné de mettre un imperméable gris qu’elle avait sorti du garde-robe d’entrée. Nous sommes allez au garage et j’ai pris place côté passager dans sa voiture. Je m’interrogeais sur notre destination. J’étais pieds nus et avec pour seul vêtement cet imper. Madame a pris la direction du centre-ville de Montréal. Finalement elle s’est stationnée dans une petite ruelle. -Descend de la voiture petite salope. J’étais pieds nu et nous étions au centre-ville. Malgré le froid de l’hiver, une bouffé de chaleur à envahie mon corps tout entier. Sans trop hésiter je me suis exécutée. Madame est venue me rejoindre sur le trottoir et a fixé mes poignets derrière mon dos. Puis elle ...