1. La Tour de Vénus (12)


    Datte: 21/03/2020, Catégories: Hétéro

    Perchée sur ses escarpins, Thea passe devant le bureau d’Erika, traverse le couloir. Les rayons du soleil filtrés par la verrière rend son chemisier nacré pratiquement transparent. Le tissu fin et soyeux flatte le galbe de ses seins volumineux, dévoile la forme bombée de ses mamelons et la pointe de ses tétons. Sa minijupe à mi-cuisses donnent à imaginer des instants luxueux et invite à glisser les yeux ou les doigts dessous. Ses jambes fuselées sont élégamment galbées par le voile satiné de ses bas noirs. Soudain, l’ascenseur s’ouvre, Matchless en sort, rougit en la croisant. Il passe sa main dans sa longue frange châtain coiffée sur le côté. Ses yeux bleus s’enflamment à la vue de sa collègue ; elle lui sourit. — Salut ! Dit-elle. Le visage de l’homme-enfant devient rouge pivoine. Toute la nuit, il avait rêvé de l’embrasser dès qu’il la verrait. Il avait ressenti la douceur de ses lèvres et la caresse de sa langue dans sa bouche. Mais devant son allure de femme élégante et sûre d’elle, il perd ses moyens. Sa beauté et ses courbes pulpeuses l’attirent. Il imagine son corps juvénile et élancé contre sa poitrine, son sexe en érection contre sa chatte. Tout avait été plus facile la veille, quand elle l’avait surprit en train de se masturber. Il avait été à son entière disposition, offert. — J’ai besoin de te parler... Bafouilla-t-il. L’air timide et penaud de Matchless attendrit Thea. — Tu me permets d’aller aux toilettes avant ? — Euh… oui… je t’attends dans la salle ...
    ... détente. La jeune femme le remercie et il admire son déhanché tandis qu’elle se dirige vers la porte à côté de l’ascenseur. Matchless profite de son absence pour se payer un café au distributeur. Il va avoir besoin de surmonter sa timidité pour lui parler. Il doute de lui et sa pensée lui rappelle la douceur de la bouche de sa collègue sur son sexe, la veille. Sa verge palpite, à l’étroit dans son pantalon. Il s’était caressé longuement à ce souvenir avant de s’endormir. Puis il avait rêvé d’elle, s’était réveillé en érection au milieu de la nuit, et s’était encore branlé. Il avait remit ça sous la douche, ce matin, alors que des images voluptueuses l’assaillaient. Ainsi que dans les toilettes du train, car sa verge en érection menaçait de faire exploser sa braguette. Et là, il frotte la bosse qui déforme son pantalon en sirotant son café. Soudain, Thea franchit le seuil de la salle et le surprend. Son regard s’illumine, elle se lèche les lèvres avec gourmandise. La sonnerie de son portable retentit, elle décroche et se rapproche de Matchless. Il la regarde, rougit, le souffle court, et le cœur qui palpite. Sa verge frétille sous sa braguette. — Oui, allô ? Le chemisier de la jeune femme frôle son polo ; ses seins entrent en contact avec son torse. Il passe un bras autour de ses hanches, la presse contre le lui. — Bonjour, c’est le garage Tamoul. Nous avons diagnostiqué votre voiture. Thea tend sa main libre, caresse le pantalon déformé de Matchless. Elle se lèche les lèvres et lui ...
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