1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (16/23)


    Datte: 21/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Dans ma jeunesse, Jeanne Moreau chantait « le tourbillon de la vie ». Depuis que j’ai acheté cette boîte en cuir, c’est le tourbillon des sexes qu’elle déclenche pour mon plus grand plaisir il est vrai. Quand je regarde la chute de rein de Marie, je suis encline à croire que les choses sont loin de s’arrêter. • Mesdames prenez place, je reviens, je vais préparer le thé, Jennifer nous a amené des petites mignardises. • As-tu de la bière ? • Oui, Benoît en boit. • Je préfère une bière. • Moi aussi bien que j’ai du mal à tenir la bouteille, c’est Louisa qui conduit. Je gagne du temps, pas besoin de préparer du thé. Quatre bières, il y en a douze dans le frigo, on ne sait jamais. Nous parlons les unes avec les autres, nous finissons notre première canette, c’est à ce moment que je ressens les symptômes prémonitoires à de grands débordements. Tout commence par Anabelle. • Il fait chaud chez toi Véronique, j’ai les seins qui deviennent durs, durs, durs, regardez-les, mes pointes sont tendues à l’extrême. • Louisa caresse les, la pression va peut-être retomber. Louisa à ses côtés, se penche carrément, prenant la pointe dans sa bouche, après avoir ouvert le chemisier. Je sais à l’échauffement que j’ai à hauteur du sexe, qu’il s’est mis en position nous entraînant à baiser les unes avec les autres. Je me serais bien occupée d’Anabelle, mais Louisa venue avec elle semble avoir sa préférence. Laisser tomber Marie serait un manque de respect aussi j’avance ma main faisant sauter le ...
    ... bouton retenant son pantalon. Elle me regarde avec son air de chien battu qui lui donne ce faciès un peu désagréable. J’avance ma bouche, elle avance la sienne et nos langues commencent à tourner dans nos cavités buccales. Je vois par-dessus son épaule que nos compagnes semblent passer à une autre étape. Anabelle s’est levée, elle baisse son pantalon, elle s’assoit sur la table et écarte ses cuisses, Louisa s’agenouille, là je décroche, nos positions m’empêchant de voir qu’elle doit lui sucer la chatte. • Fais-moi pareil, que m’arrive-t-il Véronique, j’ai envie que l’on me broute le minou, crois-tu que nous sommes de belles salopes ? • Évite de penser, vis le moment présent, l’envie des unes et des autres s’est trouvée en concordance. Du côté des autres filles, le travail que doit faire Louisa sur Anabelle doit arriver à son apogée, son souffle résonne dans la pièce jusqu’à ce qu’elle hurle de plaisir. Heureusement que les murs de ces vieilles pierres sont épais. Elle se renverse, sa copine est obligée de la maintenir par ses cuisses tellement l’orgasme qui la dévaste semble puissant. De notre côté, mes mains ont réussi à enlever à Marie son pantalon, sa chatte m’apparaît dans toute sa splendeur, sa toison est d’un roux comme on voit certains renards. • J’en avais assez que les hommes me draguent pour voir si mes cheveux roux étaient en rapport avec ceux de son vagin, seul Lucas pouvait la voir avant vous. Mon regard sur cette chatte rousse, m’a fait perdre la vue de l’autre ...
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