1. Mon voisin a vu ce qu'il n'aurait pas dû voir (2)


    Datte: 22/03/2020, Catégories: Gay

    Salut c’est votre folle de lycra Voilà bien longtemps j’étais marié à Sophie et nous avions acheté une maison de campagne. Ma femme d’une grande beauté n’était malheureusement pas très portée sur la chose et rapidement je me suis mis à faire des folies avec Muriel la voisine à la campagne. La plupart des weekends où je venais à la campagne tout seul je faisais maintenant des folies avec ma voisine partout où nous le pouvions. À côté de cela Muriel et Sophie sont devenues amies, rapidement ma maîtresse a désiré un bébé et je lui ai expliqué que c’était hors de question. Elle m’a présenté des arguments qui finalement m’ont fait hésiter. Puis un jour, un proche voisin prénommé Claude est venu me faire des avances assez directes sans trop vraiment me laisser le choix. Le pire c’est que Claude me faisait du chantage car il avait pris plein de photos de moi avec ma maîtresse Muriel. Quand je suis venu chez lui pour rouspéter, c’est avec une claque magistrale qu’il a montré que c’était lui le dominant. Il m’a emmené dans une chambre qui se trouvait au sous-sol et là en peu de temps, je me suis retrouvé nu attaché sur son lit. À ma grande surprise, j’ai découvert que les caresses qu’il me prodiguait me procuraient beaucoup de plaisir. Quand il m’a embrassé il m’avait chauffé, tant et si bien que j’aurais voulu lui rendre ce baiser, malheureusement j’étais attaché nu sur ce lit. Maintenant je ne savais plus si j’étais victime ou désormais demandeur tant ses caresses me faisaient du ...
    ... bien. Manifestement le poppers qu’il me faisait respirer me faisait un bien fou, j’étais même en train de me laisser faire pour qu’il me rase tous mes poils disgracieux et peu commodes à ses yeux. C’est à cette occasion que j’ai découvert le plaisir du contact des gants en vinyle sur une peau toute lisse. Voilà comment ce soir-là, j’étais parti chez mon voisin avec projet de mettre les choses au point, et que deux ou trois heures après j’étais nu dans sa cave et totalement à sa merci, mais surtout demandeur de tout ce qu’il me faisait. Sans vouloir faire l’apologie de ce genre de situation j’aimais le traitement qu’il m’a infligé même si c’était contre ma volonté. Je n’ose imaginer la tête de ma femme ou de ma maîtresse, si elles m’avaient vu dans une telle tenue, mais surtout à ce point offert à un homme qui avait projet de me faire sienne. J’étais toujours avec mon gros collier au cou, mais maintenant allongé sur une table d’auscultation les pieds dans les étriers, les jambes bien écartées. Maintenant mon torse était toujours maintenu au lit par une sangle, mais mes mains étaient libres et il venait me donner son sexe à caresser. Plutôt que de lui broyer les couilles, je me suis mis à lui caresser et découvrir que je pouvais faire bander un homme. Cela me faisait tout drôle de sentir ce sexe prendre du volume au contact de ma main, je comprenais maintenant Muriel quand elle prenait du plaisir à me caresser le sexe. À présent il se branlait dans ma main, je veillais à ne pas ...
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