1. La Princesse des Neiges Ch. 02


    Datte: 22/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... gorge. Je défis son kimono et l'ouvris pour sentir des seins contre mes tétons en érection. Mes mains étaient sous son kimono. L'une lui caressait le dos tandis que l'autre empoignait son cul. De la langue, elle traça une ligne, de mon cou vers ma poitrine, et dessina des cercles autour de mon téton. Puis elle le prit dans sa bouche, le suçant avec douceur. Elle avait coincé sa cuisse entre mes jambes et je me frottais contre elle. Je fis glisser son kimono de ses épaules, la poussant un peu pour l'obliger à descendre. Elle libéra ses bras du vêtement, mais se remit à me sucer les seins. Je lui tenais la tête d'une main et me caressais le téton de l'autre. Quand elle changeait de sein, je changeais de main. Mes tétons étaient aussi durs que la pierre et ma poitrine se soulevait. En réalité, tout cela commençait à me rendre folle et j'en oubliai tout ce qui n'était pas sa langue et sa jambe contre ma chatte. Elle descendit sur mon ventre et laissa ses lèvres caresser ma peau jusqu'à mon petit mont, que je venais de raser. Je tordais mes tétons entre mes doigts, au bord de l'orgasme. Reiko avait juste à tremper sa langue. Elle me toucha un bref instant à l'extrémité de ma fente et je me soulevai du lit pour aller à sa rencontre, mais elle s'écarta. Je m'effondrai sur le matelas et fit glisser ma main entre mes jambes. Elle me saisit par les hanches, me retourna sur le ventre et grimpa sur mon dos. Elle souffla sur ma nuque. J'avais un doigt sur mon clitoris et son va-et-vient ...
    ... s'intensifiait. Reiko était à quatre pattes sur moi, sa langue courait le long de ma colonne. J'avais fait mon possible pour ne pas jouir avant qu'elle ne m'ait bouffée, mais je n'en pouvais plus. Je baisais ma main, à deux doigts de l'orgasme, lorsque je sentis Reiko m'écarter les fesses et coller sa langue contre mon anus. Il ne m'en fallait pas davantage. Je poussai un cri et mon corps fut ballotté dans des vagues de plaisir. Je ne sais pas combien de temps cela dura. Des années. C'est l'impression que j'en eus. Je retombai sur le lit, ma poitrine secouée par ma respiration. Je m'attendais à ce qu'elle s'allonge à côté de moi, mais ses mains me prirent la taille, soulevant mes fesses. Elle me fit ensuite mettre mes genoux sous moi pour que je tienne la pose. Je pensais qu'elle me voulait à quatre pattes, alors je poussai sur mes bras pour me relever. Elle posa sa main sur mon épaule et me dit de rester contre le lit. Pas de problème. J'étais exténuée et la position dans laquelle je me trouvais, si elle devait paraître absurde, était étrangement reposante. Elle était agenouillée entre mes jambes. Elle faisait courir ses ongles parfaitement manucurés le long de mes cuisses et sur mes fesses. C'était formidable, un chatouillement sans la sensation désagréable habituelle. Vous voyez ce que je veux dire, vous riez mais vous voulez que cela s'arrête. Mon souffle devenait plus lourd et mon dos se creusait pour se rapprocher encore. J'étais loin de l'orgasme, mais je jouis presque ...