Infidélités
Datte: 24/09/2017,
Catégories:
fh,
cocus,
voisins,
vengeance,
jalousie,
Oral
69,
fsodo,
coprolalie,
... jeunot, je jouis comme une petite folle, des orgasmes légendaires ! Je commence à comprendre les cougars et pourtant, on ne peut pas dire que je sois vieille avec mes vingt-six ans… Mais voilà, mon mari vient de rentrer inopinément du boulot, et mon amant du jour n’a eu que le temps de s’enfuir par la fenêtre, comme dans un film de seconde zone. Sébastien ne l’a pas surpris, mais comme il est loin d’être un imbécile, il a tout de suite compris ce qui venait de se passer, ici, dans la chambre conjugale. Et puis, comme je suis en nuisette, à quatre heures de l’après-midi… Je sais, je suis impardonnable, je n’aurais pas dû baiser à la maison, et en plus dans le lit conjugal. Mais voilà, j’avais une sacrée opportunité de m’envoyer en l’air avec mon Arthur adoré, je n’ai pas trop réfléchi, et voilà le travail, hélas… Mains sur les hanches, mon mari soupire bruyamment : — C’est plus fort que toi, n’est-ce pas ?— Euh… oui… À ma grande stupéfaction, mon mari ne se fâche pas, il ne hurle pas. Non, il retire calmement son pantalon, sa chemise, puis son slip. Il est à présent tout nu ; de ses bras puissants, il me pousse dans le lit, je m’affale dessus, puis me surplombant, il m’annonce : — Puisque tu es une chaudasse, Émilie, je vais te traiter comme telle… Sans préambule et sans attendre ma réponse, il plaque sa bite sur mes lèvres. J’ouvre la bouche et je commence une énorme sucette, car j’ai quand même beaucoup de choses à me faire pardonner. De plus, je dois avouer que cette ...
... situation m’excite ! — Mieux que ça, petit pute !— Hum-hum ! Je suce comme une folle, je joue de la langue autour de sa tige bien gonflée. J’applique toute ma science de la chose sur ce bout de chair bien raide et qui me procure bien du plaisir depuis tant d’années. D’après les quelques soupirs que j’entends plus haut, mon homme apprécie beaucoup ma dextérité et mon savoir-faire ! — Branle mes couilles ! Sans ôter sa bite de ma bouche, je saisis ses deux boules pendantes, je les caresse doucement dans un premier temps, puis je les malaxe posément, sensuellement. Visiblement, Sébastien aime ma bouche autour de sa verge, et mes mains qui enrobent ses testicules. — Gobe mes couilles, à présent ! Docile, je m’exécute, je happe une de ses boules que je mets au chaud dans ma bouche. Du bout de ma langue, je câline la peau douce et fine de ses testicules. Puis c’est au tour de son autre boule de prendre la place de la première. Et bien sûr, je m’applique du mieux que je peux. — Très bien ! Tu es très douée ! Allez, enfourne ma bite ! Au moins, mon homme reconnaît mes talents en la matière ! Cette fois-ci, il y va de bon cœur, il me baise carrément la bouche, je suis le rythme tant que je peux. Sa queue s’enfonce profondément entre mes lèvres, la bave coule le long de mon menton, et je comprends vite que mon homme veut aller jusque dans ma gorge, souhaitant enfourner toute sa tige jusqu’à ce que ses boules s’écrasent contre mon menton ou mes joues ! Me renversant en arrière, je lui ...