1. Une maison d'ôte bien garnie - 2ème partie


    Datte: 22/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... faite… On ne va pas en rester là ! • Baladons-nous encore un peu et nous dinerons ensuite sur la plage… on prendra ta voiture pour aller chez moi. • Quel programme… • Ne crois pas que ce sera tous les jours… Je n’ai que quatre jours de coupure avant de remplacer une collègue sur un vol triangulaire pour Fort de France et Cayenne. • On se verra à ton retour ? • Si tu n’es pas épuisé par les « guides » de Dame Ernestine ! • Je n’en n’ai vu que deux… elles semblent charmantes mais tu sais les fruits verts… Je préfère nettement les femmes comme toi… • Vil flatteur ! Tu veux me dévergonder ! • Serais-tu une oie blanche malgré ta couleur de peau ? • ------------- • J’en serais étonné… Tu m’as laissé toucher furtivement tes seins, bien fermes soit-dit en passant, et tu m’as mis la main au paquet ! Pour diner, nous trouvons un restaurant typique dont la terrasse donne sur la plage où les vagues de la mer des Antilles viennent se briser doucement. C’est la semaine, et nous sommes quasiment seuls sur la terrasse ce qui fait que nous pouvons continuer de bavarder librement. • Parle-moi un peu de toi… Tu sais beaucoup de choses de ma vie… et si ce n’est pas indiscret, j’aimerais en savoir plus… • Oh, il n’y a rien que de très banal… Comme tu le sais, je ne suis pas une Guadeloupéenne pour jus… je suis ce qu’on appelle une « quarteronne ». Mon grand-père était métis issu d’un mariage entre un blanc et une guadeloupéenne, laquelle a épousé un blanc… J’ai donc très peu de sang noir dans ...
    ... les veines. • Je dois avouer que cela donne un beau résultat… Tu es canon ! Les mecs doivent te tourner autour ! • Oh oui… à tel point que ma mère m’a fait prendre la pilule dès que j’ai eu mes règles… Tu sais les antillais ont le sang chaud et dès qu’une jolie fille passe devant eux, ils ne pensent qu’à une chose : LA BAISER ! • Tu m’étonnes… Beaucoup d’antillaises sont de vrais canons ! Continue… • Nous étions une bande de copains du lycée de Pointe Noire et chaque fois que nous avions un après midi de libre, nous le passions sur la plage pour flirter ou nager, et pour certains s’isoler pour baiser sous les palmiers. • C’était de votre âge… • J’avais un bon copain qui a fini par me convaincre de le suivre sous les palmiers et c’est lui que a eu mon pucelage… J’avais tout juste 16 ans… Mais comme il était quelque peu volage et moi jalouse, nos relations n’ont pas duré longtemps. C’est à cette époque que j’ai rencontré Anaïs, une fille un peu plus âgée qui était arrivée en cours d’année scolaire… Je l’ai trouvée sympa tout de suite et comme on dit, je l’ai prise sous mon aile… Mais en fait… c’est elle qui m’a dévergondée. Elle a fait de moi « SA CHOSE »… Elle m’a tout appris des relations entre femmes et ce n’est qu’après la classe de terminale que nous nous sommes séparées… elle retournait en Métropole avec ses parents. Mais baiser avec un mec, çà me manquait ! • Et je pense que tu ne t’en es pas privée ? • J’étais jeune et insouciante… Baiser une ou deux fois par semaine avec ...