1. Période de folie...sexuelle avec des garçons.


    Datte: 23/03/2020, Catégories: Anal Gay

    ... Malgré la douleur de la pénétration, j'adorais le sentir placer son gland contre mon sphincter, et, petit à petit, i me forçait en me parlant parfois de façon très crue ce qui ajoutait à mon excitation..."tu aimes ça, salope, tu aimes te faire enculer...allez, ouvre bien ton cul"...et je lui répondais, soumis, "oui, chéri, j'aime me faire prendre, me faire baiser mais surtout par ta grosse queue," il m'empalait alors et petit à petit, mes fesses engloutissait son énorme queue et je sentais ses couilles s'écraser contre mon cul; "oh oui, c'est bon, mon amour, baise moi bien, défonce moi, je t'aime !" Oui, j'étais, dans ces moments là, totalement amoureux de celui qui me possédait. (je suis d'ailleurs toujours "amoureux" des mâles lorsqu'ils me baisent, encore aujourd'hui, je ressens cela lorsqu'il m'arrive de me faire baiser et lorsque je suce...j'aime mon amant). Il me possédait alors totalement, s'accrochant à mes hanches et me pistonnant littéralement le cul. Ses coups de boutoir me rendaient fou de désir et il savait me parler dans ces moments là "Tu as un cul fait pour la bite" me disait il, "tu devrais vraiment l'offrir à d'autres mâles et profiter de la ...
    ... vie, crois moi"...Il me proposait parfois d'amener, à l'occasion, un copain à lui, afin disait il " de te partouzer une nuit entière". Ces propos m'excitaient et je lui répondais souvent " Ouiiiii, je veux bien qu'on essaye une fois de le faire avec ton ami" mais quand la nuit était passée, on n'en reparlait pas. Pourtant, petit à petit, l'idée faisait son chemin dans ma tête et plus sûrement encore dans la sienne, et évidemment un jour, nous avons franchi le pas, mais c'est une autre histoire que je vous raconterai plus tard. Nos nuits nous permettaient de baiser, parfois plusieurs fois et très souvent, au matin, j'avais l'anus en feu, douloureux et, malgré tout le plaisir que j'avais eu, j'en arrivais parfois à regretter de me laisser ainsi défoncer autant. Pourtant, inévitablement, nous nous retrouvions fréquemment, il savait qu'il pouvait, quand il en avait envie, quand il le voulait, me rejoindre pour prendre son pied avec moi, ma bouche, mes mains, mes fesses lui étant totalement acquises et ma disponibilité totale pour lui. J'ai donc, durant des mois et même plusieurs années été à sa disposition tant il est vrai que j'étais accro à sa bite et à ses 25 ans... 
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