1. Un été particulier en colonie de vacances


    Datte: 24/03/2020, Catégories: fh, jeunes, extracon, Collègues / Travail intermast, préservati, pénétratio,

    Je m’appelle M. et j’avais 20 ans lors de cet été particulier. Je partais un mois (en Juillet) en tant qu’animateur dans une colonie de vacances située dans une station de la Vallée de la Maurienne (Savoie). Pour moi, c’était un grand début puisque j’étais en train de valider mon BAFA. Nous devions partir de nuit en car à partir d’une ville de la région Centre et avions tous rendez-vous à la gare routière. En arrivant, je pris contact avec le directeur de la colonie de vacances qui me donna une liste d’enfants dont il fallait vérifier certaines choses. Cette colonie rassemblait tous les âges, des petits aux ados. Il y avait de quoi s’occuper avec les parents venus amener leur progéniture. C’était un petit peu le bazar, mais ça n’avait pas l’air de soucier les habitués de la chose. Je décidais donc de me mettre au travail et répertoriais les enfants listés en leur demandant leur nom. Lorsque j’arrivais à une jeune femme, qui aurait très bien pu être une ado, celle-ci me fit remarquer qu’elle était elle aussi animatrice. Je m’excusais et l’on se mit à rire ensemble de la situation. Elle s’appelait Micky, était brune et physiquement attirante. On continua notre travail chacun de notre côté jusqu’à ce que tous les enfants soient enregistrés et installés dans le car. Une fois cette première étape franchie, le directeur vint nous voir pour nous annoncer que nous travaillerions tous les deux sur le groupe des enfants de 8 à 10 ans. Il donna le départ et nous nous installâmes côte à ...
    ... côte dans le car. Nous en avons profité pour faire un peu mieux connaissance. Sans nous connaître, nous étions passés dans les mêmes établissements scolaires à une ou deux années d’intervalle. On aurait très bien pu se rencontrer avant, mais ce n’était pas le cas. Elle venait d’obtenir son bac et se destinait aux mêmes études que les miennes. Le début du voyage passa ainsi à discuter, les enfants étant relativement sages dans le car. À partir d’une certaine heure, la fatigue se fit sentir et chacun essayait de trouver une position confortable pour dormir, ou du moins, pour tenter de le faire. Le lendemain matin, arrivés à la colonie, il a fallu aider les enfants à décharger leurs bagages et à ranger leurs vêtements. Ces enfants venaient de milieux plutôt défavorisés et le contact avec eux s’était fait de manière très naturelle. De même, une certaine complicité était en train de s’instaurer entre Micky et moi. Elle prit même les devants, ce qui m’a mis devant le fait accompli. Je m’explique, elle a fait croire aux enfants que l’on vivait ensemble et que nous avions un enfant. Les enfants n’étant pas bêtes, ils se sont vite rendus compte que l’on ne s’embrassait pas devant eux. Nous leur avons expliqué que nous étions sur un lieu de travail et que ça ne se faisait pas. La situation était sauve de ce côté-là. Ce à quoi je m’attendais le moins, c’est que cette situation commençait à me travailler sérieusement et que la complicité avec Micky était de moins en moins ambiguë, alors ...
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