1. En robe légère chez le podologue


    Datte: 25/03/2020, Catégories: fh, médical, miroir, Oral init, occasion,

    ... et de la fumée sortirait par ses oreilles tellement il me dévore des yeux… Ce n’est pas mon style, trop petit et trop musclé par trop de gonflette. Je m’amuse quand même à croiser et décroiser furtivement les jambes régulièrement ! Assez vite, c’est mon tour. Un rendez-vous médical à l’heure, c’est rare et j’apprécie cette délicatesse. Le podologue est un homme d’environ quarante-cinq ans, grand et mince, mais d’allure sportive, grisonnant. Son regard est pétillant et sa voix est chaude et accueillante. Mais le plus accueillant ce sont ses mains, longues, fines et puissantes à la fois. Il m’invite à entrer dans le cabinet et le regard flatteur qu’il me porte ne me laisse pas insensible… Pendant qu’il remplit mon dossier, puisque c’est ma première visite, il fait la conversation banale et usuelle, mais agréable, ce qui me met en confiance et me détend. On en vient donc au but de ma visite, c’est moins glamour ! Il m’écoute, me dit que c’est une pathologie classique pour des coureurs et qu’il va procéder à différents examens afin de déterminer les meilleures semelles. L’auscultation commence… Il me demande de marcher en ligne droite devant lui. Ce petit manège doit lui plaire, car cela recommence cinq à six fois. En effet, pendant ce temps il a tout loisir de me mater les fesses moulées dans ma robe légère ! Puis il me demande de joindre les deux pieds et d’aller les toucher avec les doigts, jambes tendues. Il se place derrière moi… Ce petit jeu a pour effet de faire ...
    ... remonter assez haut ma robe sur mes cuisses. De plus, ainsi tendue, la transparence du tissu doit laisser voir ma raie. Je sens également ses mains se poser sur mes hanches et parcourir ma colonne vertébrale. Il ne peut pas ne pas sentir que je ne porte pas de soutien-gorge… Ce contact et ma robe relevée plaquée le long de mon corps, avec lui derrière, commence à vraiment m’émoustiller. Il détecte une légère lordose sans gravité et m’explique qu’il va examiner mes courbures plantaires à l’aide d’un podoscope. Il me montre l’appareil et m’explique que grâce à un jeu de miroir, il peut voir la plante de mes pieds et ses appuis sur le sol et en garder un marquage, afin de constituer les semelles. Je comprends alors que c’était peut-être une erreur de venir sans culotte, mais en même temps l’idée que je puisse lui dévoiler fortuitement mon intimité m’excite un peu. Je monte donc sur l’appareil, mais les jambes assez serrées. Non prévu au programme, l’appareil diffuse une lumière par en dessous… C’est alors que le podologue m’écarte délicatement les pieds l’un de l’autre et il m’explique que cela permet de conserver l’écartement naturel dû aux hanches. A-t-il déjà compris que je ne porte également pas de culotte ? Je me retrouve donc les jambes un peu plus écartées sur un miroir, rétroéclairé par en dessous ! Le pire c’est que cela commence à vraiment m’exciter. Je sens un échauffement dans mon bas-ventre et je sens également que je commence à mouiller. Je risque un œil discret sur le ...